1. 6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation


    Datte: 17/07/2017, Catégories: fhh, extraoffre, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, couple+h,

    ... ! Il faut dire que je n’ai jamais eu droit à une Cécile qui me mettre les points sur les i… Des envies, j’en ai plein, mais j’ai l’impression de ramer à contre-courant avec les femmes, que ce n’est jamais le bon moment. Combien de fois je me suis planté de la sorte ! Mais quelque chose en moi me dit que ça va être plus simple avec Cécile. Alors, l’écartant légèrement de moi, je me penche sur elle et je l’embrasse. Fougueusement, elle répond à mon baiser. Je m’enflamme petit à petit ; mes mains deviennent plus possessives. Nos lèvres se dévorent, nos corps se cherchent. Alors que je l’embrasse passionnément dans le cou, une main dans son dos que je caresse et griffe délicatement et l’autre sur une fesse fermement capturée, Cécile murmure : — Tu ne crois pas qu’on en fait un peu trop ?— Ce n’est pas toi qui disais qu’il faut se laisser aller ?— Si, mais ça va plus loin que d’hab’… Mon nez et mes lèvres toujours dans son cou, je demande : — Comment ça ?— Je suis libertine, je ne m’en cache pas ; mais avec toi, il y a comme un petit truc en plus…— Tu m’en vois ravi : tu sais très bien que, toi, tu me plais beaucoup, énormément ! Si je m’écoutais, je t’enlèverais et je te garderais pour moi tout seul, égoïstement.— Embrasse-moi au lieu de dire des bêtises ! Il ne me semble pas avoir dit de bêtises ; néanmoins j’obtempère, trouvant l’idée particulièrement agréable. Un long baiser nous unit à nouveau. Je me frotte éhontément contre elle, mes larges mains la caressant, la frôlant, ...
    ... la désirant. Soudain, Cécile s’échappe de mes bras, me désignant le couloir et les chambres : — Tu vois que c’est simple… Mais chaque chose en son temps. Ceci dit, tu es sur la bonne voie.— Madame est trop bonne !— Hi-hi, je sais, ça me perdra. Peu après, c’est un Fabrice assez fatigué qui fait son apparition dans le salon. Il me lance un bref bonjour ensommeillé, puis il s’approche de sa femme et l’embrasse tout en lui caressant les fesses. Puis il se sert un café. — Je vais en avoir besoin.— On dirait que tu n’es pas tout à fait rétabli, mon chéri…— Tu as raison : je traîne toujours un truc depuis le début de la semaine. La perspective d’abuser de ta gracieuse petite personne m’a donné un grand coup de fouet, mais j’en subis le contrecoup. J’interviens : — Tu aurais dû le dire : je ne t’aurais pas demandé de venir avec moi.— Oui, oui, c’est ça… Et tu aurais aussi fait une croix sur nos amusements d’après ?— Je ne peux pas donner tort, Fab’. Il boit sa tasse, puis la remplit. Durant ce temps, tandis qu’il est perdu dans les brumes du réveil, Cécile s’approche de moi, me donne une fine tape sur mon sexe toujours pointé vers le plafond et murmure : — Range-moi ça.— Ça va être dur…— Pff, c’est déjà dur ! J’en profite pour lui mettre une petite fessée très légère. — À qui la faute ? Tu es ultra-excitante à te balader en nuisette comme ça. Je ne suis qu’un simple homme, moi !— Oh, je ne suis qu’une simple femme, tu sais…— Non : toi, tu es ma femme idéale !— Rien que ça ? Ah ces ...