1. 6809 - Saines émulations - 1/3 : Implémentation


    Datte: 17/07/2017, Catégories: fhh, extraoffre, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, couple+h,

    ... qui continue néanmoins de me caresser sensuellement tandis qu’elle avale par petites gorgées. Oh, que j’adore qu’une femme avale, qu’elle me boive, qu’elle se remplisse de mon sperme, qu’il coule dans sa gorge pour aller ensuite se nicher au plus profond de son ventre ! — Je vois que vous avez déjà pris l’apéritif ! Fabrice vient à l’instant d’entrer dans le salon. Je sursaute, un peu inquiet au fond de moi. Je suis vite rassuré quand j’entends sa femme lui répondre d’un air innocent : — Oui, je me suis offert à la source un petit rafraîchissement.— Un rafraîchissement ? Tiède, voire chaud ?— En tout cas, ça fait du bien par où ça passe !— Ah oui ? Et tu en veux encore ? Et il vient se planter face à Cécile. Quelques secondes plus tard, sa queue disparaît à son tour entre les lèvres suaves de sa femme qui s’activent autour de ce nouveau rafraîchissement en perspective. Contemplant le spectacle, je récupère de mes émotions car quelque chose me dit que ça n’en finira pas là tout de suite. Fabrice tourne la tête vers moi : — Je vois que tu n’as pas perdu ton temps, Richard…— Nous n’avons pas perdunotre temps, en effet !— Oh, toi, tu veux me dire quelque chose…— Je ne cafte pas, moi, cher Monsieur. Il rit, et je vois bien que sa femme a l’œil pétillant. Je n’arrive pas trop à me faire à ce genre de convivialité, même si j’en suis quand même le principal bénéficiaire. — Tu veux que je bouche les oreilles de ma femme ? De plus, occupée comme elle l’est, elle ne pourra pas ...
    ... protester.— Chiche ! Et il le fait : plaquant ses mains, il couvre délicatement les oreilles de sa femme qui ne proteste même pas, puis il demande : — Alors ?— Ah, toi et tes conneries !— Tu n’osais pas me dire quoi ? Que c’était Cécile qui t’avait sauté dessus ?— Il y a de ça…— Tu es encore plein d’anciens principes, mon vieux Richard !— On ne se refait pas en un seul jour, ni en deux.— Pourtant ce n’est pas la première fois que tu profites des charmes de cette belle cochonne.— Cochonne ? Comme tu y vas ! Il me regarde en souriant, sa bite toujours aussi bien choyée par les bons soins de sa femme. — Et si j’ai envie de dire que c’est une cochonne, je dirai que c’est une cochonne. Et même une belle salope, si ça me dit. Car qu’y a-t-il de mal à dire que sa femme est une pute si elle aime se comporter de la sorte et qu’on est le premier à en bénéficier ?— Tu y vas un peu fort !— Ça fait partie du jeu, Richard. Ça ne me gêne pas de traiter Cécile de putain si ça nous excite, elle et moi. Je ne le dis que par jeu, et non pour de vrai. Tu n’as jamais eu envie de dire que ta partenaire était une belle salope ? Pas même en pensée ?— Il est vrai que dans le feu de l’action…— Et c’est jouissif, non ?— C’est vrai que… Projetant son bassin encore plus en avant afin que Cécile l’engloutisse complètement, Fabrice soupire : — Qu’est-ce que tu peux être encore coincé… Cécile, ma belle et ravissante pute, va se faire un plaisir de te décoincer ! Je ne réponds rien tandis qu’il enlève ses mains des ...
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