1. Transgression


    Datte: 27/04/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    Un soir, nous avions organisé avec des amis une soirée. Nous avions l’habitude de nous retrouver tous les 4, Marion et Jérémy était en couple depuis environ 2 ans et habitait ensemble. Fabien, lui, était plutôt un célibataire endurci. Quand Marion est arrivée avec Jeremy, je l’ai trouvée encore plus radieuse que d’habitude. Il faut dire qu’elle et moi avions commencé à nous chauffer par message quelques temps au parant et je lui avais intimé l’ordre de se faire belle pour moi. Nous avons commencé l’apéro comme à notre habitude. Les bouteilles sensont vidées petit et petit et je sentais l’alcool qui faisait son effet sur Marion qui devenait de plus en plus rouge, excitée par mon regard pressant. Elle s’est absentée quelques instants pour aller se rafraîchir. Quelques minutes plus tard je suis allé, du moins c’est ce que j’ai prétexté, aux toilettes. J’ai trouvé Marion, en proie à ses pulsions, face au miroir, dans la salle de bain, appuyée sur le lavabo. On sentait qu’elle essayait de se contenir. Elle ne m’a pas senti arrivé et j’ai directement glissé ma main dans son legging, cherchant immédiatement sa petite rose. Mes doigts arrivant à l’objet de leur recherche, y trouvèrent un torrent de mouille. Ce simple mouvement fit complètements défaillir ma proie qui tremblait de tout son corps. Je lui demandais donc « bah alors tu mouilles déjà autant alors que je ne t’ai rien fait ? » Pour seule réponse, elle m’a embrassé fougueusement. Ma main était toujours dans son pantalon et ...
    ... caressait toujours son fruit qui aurait dû m’être défendu. Je suis retourné dans le salon, la laissant là, seule face à son désir. Après plusieurs minutes, je sentais encore mon sexe très dur sous mon jean. Marion n’étant toujours pas revenu, j’ai voulu pousser mon jeu un peu plus loin. Je l’ai retrouvée à nouveau dans la même position, appuyée sur le lavabo. Elle avait son beau visage couvert d’eau, qu’elle avait mis en abondance pour essayer de reprendre ses esprits. Ses cheveux blonds étaient également mouillés. Elle luttait de tout son être pour rester maître d’elle même. Mais ma seconde venue l’a achevée. J’ai attrapé ses seins fermement d’une main et dirigé l’autre main vers sa chatte que je savais trempée. Elle a laissé glissé un couinement plus qu’approbateur. C’était même une supplication. Un appel. J’ai donc joué avec elle, savoir jusqu’où elle serait prête à aller. Je lui ai demandé « à qui tu appartiens » « A toi » a t elle répondu en tentant de m’embrasser. J’ai reculé ma bouche pour lui dire « et tu crois que ça te donne le droit de m’embrasser ? » « J’espérais ... » a t elle cherché à répondre mais je l’ai interrompue « Tu as le droit uniquement de m’obéir. » Elle a acquiescé. J’étais ravi. Elle était prête à se laisser faire. Je ne m’attendais pas à une telle docilité. « a qui appartiens tu ? » « A toi » « A qui vas tu penser quand Jeremy te fera l’amour chez toi ? » « A toi » « Qui est ton maître ? » « Toi » Et je l’ai laissée à nouveau. Tremblant de tout son ...
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