1. Je l'ai dépucelé


    Datte: 17/07/2017, Catégories: fhh, hbi, jeunes, Oral pénétratio, hsodo,

    ... les soirs sur ce qu’allait pouvoir être cette rencontre ; nos soirées en étaient d’autant plus agitées. Samedi, 18 heures. Je rentre dans la salle de bain pour me faire une beauté. Avec Jean, nous avons décidé que je devais m’habiller de façon à faire monter irrésistiblement la température de ce jeune puceau dans le but qu’il ne nous refuse absolument rien. Petit haut noir décolleté pour mettre en évidence ma poitrine généreuse, petite jupe noire moulante au-dessus des genoux, bas noirs et talons hauts assortis. Maquillage des lèvres en rouge vif de rigueur, et me voilà prête pour accueillir notre invité. 18 h 50, mon téléphone sonne : c’est Victor. — Bonjour, Isabelle, c’est Victor. Je suis arrivé devant un grand portail blanc ; c’est ici ?— Oui, certainement que tu es bien devant chez nous, je viens t’ouvrir. Il n’avait rien à envier à la photo qu’il nous avait envoyée : j’avais devant moi un jeune homme qui paraissait effectivement assez timide au premier contact, mais avec un certain charme. Châtain clair, les yeux marron, assez grand – environ 1,80 m –, habillé à la « djeun’s ». Son tee-shirt moulant laissait deviner ses jeunes pectoraux musclés qu’il devait prendre soin d’entretenir… Tout ce que j’aime, quoi ! — Bonjour, Victor ; comme tu peux le deviner, moi, c’est Jean.— Bonjour, Jean.— Allons nous installer sur la terrasse ; Isa nous a préparé un petit cocktail maison. Tu n’es pas contre une goutte d’alcool ?— Non, volontiers. Nous avons discuté tous les trois de ...
    ... longues minutes, accumulant les verres de punch que Jean ne manquait pas de nous resservir à chaque dernière gorgée. Le courant passait très bien entre nous. Victor semblait détendu. À chaque fois qu’il le pouvait, tout en discutant il portait de façon discrète son regard vers ma poitrine partiellement dénudée. Lorsque nous avons dirigé la discussion vers le but de notre rencontre, malgré les verres d’alcool descendus, Victor s’est instantanément mis à rougir ; son malaise se lisait sur son visage. J’ai alors tenté de l’apaiser : — Ne t’inquiète pas, Victor, ça va très bien se passer. Tu vas prendre beaucoup de plaisir, à moins que tu aies changé d’avis, ce que nous pouvons comprendre. Tu n’es obligé à rien.— Non, non, ce n’est pas ça, c’est juste que… comme je vous l’ai dit, c’est ma première fois. J’en meurs d’envie, mais je crains de ne pas être à la hauteur et de vous décevoir ; vous semblez tellement expérimentés !— Ne te fie pas aux apparences ; nous ne sommes pas aussi expérimentés que tu l’imagines. Sur ces mots, je me suis levée pour aller m’asseoir sur ses jambes. Je sentais son sexe dur dans son jean compressé sous ma cuisse. — Jean, je crois que notre invité est très excité : la rigidité de son bâton écrasé sous ma cuisse me ferait presque mal.— Tu devrais peut-être lui faire prendre l’air et le soulager… Victor nous écoutait et restait sans mots, le visage toujours rougi, mais cette fois par son excitation qui avait pris le dessus sur sa timidité. D’un mouvement ...
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