La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°830)
Datte: 19/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... paraissait bien serré. D’une poussée franche et ferme, il prit possession d’Olivier : - Voilà un cul bien serré comme je les aime, tu es vraiment une petite pute et dans deux minutes, c’est comme une chienne en chaleur que tu vas haleter… Le Majordome alors commença le mouvement de vas et viens et le soumis faillit crier de douleurs quand le sexe de Walter allait et venait, coulissant, écartant les chairs de cet anus qui se dilatait sous les coups de boutoirs du Domestique. Olivier d’abord sentit cette dilatation douloureusement, son anus s’ouvrait et puis ce fut un sentiment de plaisir qui monta et qui succéda vite à la douleur, son esprit venait de se rendre compte qu’il était finalement un chien qui avait besoin d’être Dominé. Walter fut satisfait quand il entendit les premiers gémissements d’Olivier qui sentit la main du Majordome se saisir de son sexe, il tira en arrière sa queue. Walter voulait s’assurer de quelque chose. Olivier ce chien soumis bandait et la main de Walter constata cela avec satisfaction. Le soumis serait ce soir un met de choix pour Monsieur le Marquis et ses convives, il se laissait faire et son corps réagissait positivement. Walter prit garde en revanche de ne pas éjaculer dans son trou du cul, seul le Maître avait ce privilège. Alors il sortit sa verge du cul d’Olivier, la rondelle était suffisamment assouplie et préparer à la soirée de ce soir. Alors le Majordome jouit dans la bouche du chien soumis qui prit garde de bien tout garder de ...
... l'abondant flot de semence qui jaillit dans sa gorge et emplit sa bouche de lopette. Walter lui lança : - Avale tout la pute et sache que c’est simplement le hors d’œuvre, ce soir tu verras, cela va être autre chose et tu devras obéir en tout point à Monsieur le Marquis. Maintenant le chien, tu vas me suivre, c’est le retour à ton cachot qui t’attends en attendant ce soir. Olivier se laissa guider à quatre pattes vers les bas-fonds du Château jusqu’à son cachot qu’il retrouva. Nu comme un ver, il se recroquevilla sur lui-même sur la paillasse qui lui servait de lit et il se mit la seule couverture qu’il disposait sur son corps afin de se réchauffer de l’humidité ambiante. Il comprit que la journée allait être longue dans l’attente jusqu’à ce soir auprès du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. Qu’allait-on encore exiger de lui ?... Vers 14 heures, Marie la cuisinière lui porta à manger, rompant ainsi avec sa solitude, Olivier se restaura à quatre pattes en mangeant dans une gamelle sa pâtée nutritive devant Marie. Il remarqua aussi la baguette qu’elle tenait dans sa main gauche qu’elle tapotait contre sa hanche. La cuisinière avait pour rôle de vérifier l’aptitude des soumis à recevoir une correction, la baguette répondait à cette usage, longue et fine, Marie savait doser son geste. Dans un instant, elle allait pouvoir se prouver encore une fois son savoir-faire. - Aller le chien, debout maintenant, tourne toi je vais te donner dix coups de cette baguette, tu vas écarter tes jambes, je ...