1. Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... (4)


    Datte: 28/04/2018, Catégories: Trash,

    ... pis : il me restait Matthew, qui avait ma préférence au départ. Anglais, il semblait avoir un petit côté distingué un peu cliché mais pas désagréable. Lui s’est bien présenté au rendez-vous, pile à l’heure devant la FNAC. Je lui avais demandé comment je le reconnaîtrai - il m’avait répondu "ne vous en faites pas pour ça". Il avait raison : de la petite dizaine de personnes qui zonaient sur les marches du magasin, il était le seul qui semblait débarquer de l’Eurostar à l’instant. Il n’avait pourtant ni chapeau melon, ni Church’s aux pieds, mais un petit quelque chose de British évident. Nous décidâmes d’aller discuter au Comptoir de la Bourse, un bar à cocktail confortable, avec assez de musique pour couvrir nos paroles vis à vis des voisins mais pas trop pour pouvoir parler tranquillement. Matthew était un candidat parfait pour un trio avec Candie et moi. Il était chic mais drôle. Beau dans le genre anglais, et porté sur toutes les fantaisies sexuelles : "j’aime être choqué", m’a t’il avoué. J’avais vu sa queue sur le site de rencontres, mais il a tenu à me la montrer dans le bar. Il a attendu un petit moment tranquille et a sorti une magnifique bite en érection sous la table. Il était très excité, moi aussi, et je lui ai donc proposé, perfidement, de passer à la maison pour lui montrer le petit studio de tournage : a priori, il était d’accord pour être filmé pendant nos ébats, aussi bien avec elle qu’avec moi, et ça lui était égal d’apparaître sur internet. Il était venu ...
    ... en France parce que sa famille avait découvert ses relations bisexuelles et qu’il s’en était suivi divorce et rejet par ses propres enfants. Dégoutté, il avait quitté son pays et entrepris un voyage à travers l’Europe. Il ne manquait pas de moyens financiers, avait finalement résolu de s’installer à Lyon et y menait une vie libertine loin des regards pesants de l’aristocratie londonienne qu’il fréquentait alors. En fait, je sentais que tourner du porno et s’exhiber sur la toile pouvait éventuellement constituer pour Matthew un beau pied de nez au passé. Après avoir rejoint notre maison et le studio, j’offrais à boire à mon invité et lui montrai quelques-uns des films que nous avions déjà tournés. Dans un premier temps, j’évitai de lui montrer les scènes les plus crades, mais je constatai qu’il se touchait l’entrejambe de façon assez prononcée dès qu’il voyait Candice faire pipi où me lécher l’anus. Alors que je lui montrais une scène avec Shelly, que j’enculais, je posai ma main sur la queue de Matthew, à travers son pantalon. Il bandait comme un fou. Je massai quelques instants l’outil, puis je me relevai, baissai mon propre pantalon, mon caleçon et mis mon sexe à hauteur de sa bouche. Je sentis sa langue se promener sur mon gland; il aspira le liquide déjà sorti de mon orifice et me caressait les fesses avec ses mains. Je suis allé allumer quelques lumières du studio, j’ai enclenché les trois caméras toujours prêtes à filmer et judicieusement placées pour multiplier les ...
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