1. Amélie-Garance


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou

    ... cuisses. Il y en a un hors de son emballage. Il est déployé. S’amuserait-elle toute seule avec une capote ? Moi-même, trois portes plus loin, dans le fond de mon armoire, j’ai une broîte identique (sans arômes pour moi, merci) dont les locataires ont souvent couvert des objets inadaptés pour les accompagner entre mes cuisses. Gaga s’amuse-t-elle aux mêmes jeux que moi ? Ça serait tellement excitant. Je mets le préservatif dans ma bouche. Sûr qu’elle s’en est amusée d’une façon ou d’une autre. L’a-t-elle utilisé pour visiter le gouffre entre ses cuisses, ou sa bouche, ou ailleurs ? Putain ! je désire ma sœur d’une façon incommensurable.J’ai honte.Mon cœur s’emballe, je cherche à tout prix un moyen de toucher de la bouche un objet qu’elle a touché elle aussi. Je me délecte à faire des léchouilles au goulot de sa bouteille d’eau qui ne comprend pas ce qui lui arrive. « D’habitude elle boit mais ne me lèche pas » se dit-elle. Et puis soudain jaillit l’idée merveilleuse de sa brosse à dents. Je cours vers la salle de bain privative. Le paradis pour la sœur en folie. Serviette de bain, cheveux, brosse à dents et poubelle. Je plonge les doigts dedans. Cotons démaquillants et serviettes périodiques.Mais qu’est-ce que ça peut cogner dans ma poitrine !Je suis certaine d’être à la merci d’un nouvel orgasme psychologique. Elle ne roule pas ses serviettes et l’une d’elles est encore humide. Douce et collante. Je ne vais pas oser le faire ? Et bien si ! Je la pose contre mon nez et ma ...
    ... bouche et inspire à pleins poumons l’odeur écœurante du corps de ma sœur. Orgasme imminent. Ma langue récolte tout ce qu’elle peut trouver, j’en pleurerais presque.Encore ! Encore ! Encore ! réclame mon corps tout entier, mes papilles et mon palais soumis à rude épreuve. Ma chemise de nuit ne couvre rien de moi et je dégouline le long des cuisses. Je trouve une autre serviette périodique humide et la colle contre mon sexe. Mon idée première était sa brosse à dents. Elle est là, dans le gobelet, dégoulinante. Aussi loin que remontent mes souvenirs, aucune pensée du troisième type concernant ma sœur n’a été l’ordre du jour. Comment donc, un matin de mai, ai-je pu à ce point changer ma façon d’être. Ma sœur jumelle me parle masturbation et me voilà prête à bondir dans la plus pure dépravation. Nous pratiquons la relation sexuelle par mains interposées et me voilà totalement dépravée, noyée dans un besoin d’odeurs, de chair et de fluides.Le lavabo est plein de cheveux. Garance et le ménage, ça fait deux. Tout est allé tellement vite sur son lit, si j’avais continué seule à me caresser dans ma chambre je n’aurais pas eu l’impression de n’avoir pu me concentrer correctement sur mon plaisir. J’étais focalisée sur la puissante présence de ma sœur au point d’en oublier le point culminant de mon plaisir. Je ne sais même plus comment c’était ! J’en regrette presque de n’être pas restée parfaitement solitaire sous mes draps. Au moins mon esprit n’aurait pas cavalcadé à plus de cent à l’heure ...
«12...121314...35»