Amélie-Garance
Datte: 29/04/2018,
Catégories:
Lesbienne
Masturbation
Inceste / Tabou
... non, nous ne l’avons pas fait ! » Je me souviendrai toujours de ce moment délicat.Voilà. C’est fait.Garance pose ses lèvres sur les miennes et entrouvre la bouche pour épouser la mienne. C’est délicieux. C’est tiède, humide et collant, c’est tellement profond que ça me semble infini. Ma langue serpente entre ses dents et aiguillonne la sienne. Tendue, battante. Je pousse puis me laisse faire, résiste puis m’offre. Nos lèvres se cherchent. Mon ventre pétille. Je dégage difficilement mes mains de l’amas de tissus empêtrés pour les glisser dans la chevelure noire de ma sœur. Elle écrase sa poitrine sur la mienne, nos seins se tourmentent. À bout de souffle, je me dégage de son baiser avec un petit bruit humide et aérien. Je cligne encore pour disperser le brouillard émotionnel et Garance murmure :— Bien joué, ma puce.Nouvelle explosion dans ma chair. Des pas résonnent dans l’escalier, Garance se redresse en s’appuyant sur ses paumes, elle tente de se dégager mais Danielle surgit sur le palier. Elle nous dévisage bouche bée. Je tourne la tête difficilement pour l’apercevoir à l’envers et lance d’une petite voix (qui se voulait ton enjoué) :— On ramasse les cahiers de Garance, cette saloperie de sac à lâché.Pas dupe pour deux sous, Danielle s’offusque :— Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Ne me prenez pas pour une conne !Usant de notre grade de « filles de ses employeurs » et animées d’une symbiose gémellaire, nous répliquons d’une même voix :— Mêle-toi de ce qui te regarde, ok ...
... ?— Mêle-toi de ce qui te regarde, d’accord ?Garance se lève, me permettant de me dégager, je l’agrippe par le poignet et l’amène dans ma chambre. Danielle continue de brailler alors que le montant claque sèchement.Toujours animée de notre osmose gémellaire, Garance m’agrippe par le débardeur entre mes seins et me balance contre le montant de la porte. Le choc produit un bruit sourd et expulse l’air de mes poumons. Elle me capture ainsi entre elle et le panneau, verrouillant la prise en posant ses mains sur la porte de chaque côté de ma tête.Elle recommence à m’embrasser le front, dévorant tout sur son passage, mes paupières fermées, mon nez, mes lèvres puis mon menton qu’elle mordille. Je suis presque apeurée de voir avec quel tact elle mène la danse. Ses mains virevoltent et atterrissent sur mon coin de ventre dénudé. Elle soulève le tissu jusqu’à mes seins et se laisse choir à genoux. Son visage se plaque contre mon ventre brûlant.Mon Dieu, que c’est bon !Ses sourcils durs qui agacent ma peau, ses cils qui se font plumes pour envoûter ma chair et ses lèvres. Argh. Ses lèvres fermes et collantes s’en vont chasser autour de mon nombril, m’arrachant un petit cri sourd. Elle arrête son périple exaltant et se redresse. Parlant tout contre ma bouche elle questionne :— Qu’est-ce que tu aimes plus que tout ?Je réfléchis, apeurée. Survoltée. Comme si un orage grondait en mon corps. Et rétorque :— Toi !Danielle frappe à la porte et continue à demander :— Les filles, je veux vous voir ...