1. Amélie-Garance


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou

    ... peu et remonte vers elle, le menton brillant de sa magie humide. Je pose mes lèvres sur les siennes, elle ne dit rien. Trouvant encore la force d’honorer ma sœur, je sens ses doigts s’insinuer en moi. Avec délice. Depuis ce matin, j’ai envie de la voir m’envahir. C’est chose faite. Elle sait où se trouve ma raison d’être et elle caresse, elle caresse, encore et encore. Je plonge, je hurle intérieurement. Tout n’est que sensation. Et je fais le spectacle. Là où elle s’est montrée digne, je m’empresse de répéter :— Oh, ma Ga, Garance, ma chérie…Et soudain tout est fini.L’émotion s’en va dans un feu d’artifice. Tout est rouge, rien ne va plus. Je la prends dans mes bras, tout contre moi. Elle se love dans l’enclos de mon corps. J’embrasse sa joue très longtemps en la berçant. Je la cajole. Je la tiens. Rien ne compte plus que ça.La tenir.La toucher.Qu’allons-nous devenir ?Chapitre 3Et après ?Quarante-cinq minutes de voiture sous le soleil. J’arrête la Mini Cooper. Chaleur épaisse qui enveloppe mon corps et cuit ma peau à petit feu. Il est déconseillé, ou peut-être même interdit de conduire avec ça et pourtant… Baladeur numérique dans les oreilles et Vertigo de U2 crachant ses décibels au cœur de mes tympans, je remonte l’allée de graviers rouges d’un pas décidé. En lunettes de soleil, short blanc et débardeur noir, en ordre de marche je suis. Je déverrouille la porte verte qui mène dans l’arrière-cuisine ensoleillée, lance mon sac en velours sur le carrelage et virevolte ...
    ... autour de la table à la recherche de boisson fraîche. Ouverture du réfrigérateur et fermeture de la porte d’un coup de talon, je m’abreuve de jus d’oranges au goulot. Moitié dans la bouche, moitié sur le menton et sur le débardeur. Façon exquise et sale d’entamer la fin d’après-midi. Pour cette première semaine des congés d’été, tandis qu’autorité parentale et personnel de maison restent végéter à Paname, ma sœur et moi-même, en téméraires jeunes filles, profitons de notre première semaine de vacances dans le sud de la Corse dans la seconde demeure familiale.---oooOooo---Chers habitués, je m’excuse du désagrément encouru, mais je me dois de me présenter, pour les nouveaux arrivants, les anciens sans mémoire et les retardataires…J’ai dix-neuf ans et quelques mois, je suis intermittente des études dans la catégorie « architecture intérieure » et je m’appelle Amélie. J’ai la malchance d’habiter à l’occasion à Rueil-Malmaison chez des parents trop stricts. Mon père, voyageur au-dessus des flots et des comptes bancaires est directeur d’une société d’exportation de carburants. Il s’appelle Pierre-Alain, mais est connu dans le milieu sous le nom de « Du fric, du fric et encore du fric ». Ma mère est directrice d’un centre de loisirs aquatiques en plein Paris. Ma mère ? Ah oui ! Tiens, c’est elle ! Des fois je suis obligée de regarder des photos pour me souvenir de son visage. Absence parentale oblige.J’ai une sœur en terminale (redoublante chronique). Une sœur jumelle. Même jour, même ...
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