1. Amélie-Garance


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou

    ... convoité mes copines bien roulées mais c’est tout ! J’ai l’impression d’être un garçon qui bave devant une femme. Je suis toute rouge, Garance me fait :— Tu vas pas rougir comme ça pour ça ! C’est rien !— Mais… mais… mais je te préviens, t’avise pas de le faire ici ! Ça suffit !Je prends enfin mon ton autoritaire. Elle cesse de relever son débardeur sur sa poitrine. Elle me regarde et me dit :— C’est vrai. Je suis une conne, pardon. Je sais pas… franchement je sais pas ce qui me prend. Excuse-moi. Je m’en vais.Elle se lève, remonte son jean, reboutonne sa braguette. Elle arrange ses cheveux et court vers la porte. Elle déverrouille le battant et quitte la pièce en coup de vent en refermant violemment la porte.Je reste là debout, vidée totalement. Mon excitation est retombée d’un coup. Comme l’eau du riz qui gonfle et s’affaisse lorsqu’on coupe le gaz. Ma tête tourne un peu. Mais qu’est-ce qui m’arrive ? J’ai honte d’avoir vu Garance comme ça. J’ai honte d’avoir saisi sa dépravation. J’ai honte de l’avoir laissée faire ça, entamer son strip-tease sur mon lit ! Mais merde ! Qu’est-ce qui lui prend ce matin ? Où est passée ma sœur normale ? Celle qui venait dans ma chambre pour discuter des heures sans gêne et sans problèmes !Et puis j’ai aussi honte d’avoir crié. Je ne hausse jamais la voix contre elle. Je ne suis pas son aînée et je l’adore presque viscéralement. Oh mon dieu ! Elle est troublée elle-même, du fait que j’ai crié mais sans doute aussi de ce qu’elle a tenté de ...
    ... faire !Où était le problème, en plus ? Il n’y a pas eu de contacts entre nous, je n’ai rien fait de mal et elle non plus. Il va falloir que j’aille m’excuser. Je suis dépitée. La pointe acérée du désir s’en est allée loin de moi. Mes yeux s’emplissent de larmes. Pardon, ma Garance ! Pardon !Je saisis le portable sous le bras, ouvre la porte et débouche sur le palier. L’immense couloir sombre est bordé de portes. La chambre de Garance est au bout à gauche. L’œil-de-bœuf protégé de fer forgé illumine le dégagement près de sa chambre. Je frappe. Pas de réponse. Je frappe plus fort et dis « C’est moi, ouvre, faut que je te cause ! Je vais pas râler ni rien, ouvre Gaga c’est urgent ! »Elle ouvre immédiatement. Elle devait être appuyée contre le battant à l’intérieur. Elle me fait entrer et, rituel oblige, referme à clé. Je lui dis :— Je t’ai amené l’ordi. Il est en veille sur la photo je pense ! Excuse d’avoir râlé, y avait rien de méchant.— Je voulais rien faire de mal.— Je sais ! Mais on avait pas l’habitude de parler de nos histoires de filles solitaires, alors j’ai été troublée c’est tout. Et comme je me masturbais quand tu es entrée, j’étais encore plus gênée. Mais c’est pas vraiment ce que tu penses ! J’étais gênée de te voir si libérée. Et comme j’allais encore sur mon excitation ça m’excitait encore plus ! J’en avais pas après toi. J’étais frustrée d’avoir dû arrêter et en même temps dix fois plus excitée qu’on en parle !— Je m’en suis doutée !— Bon, alors voilà, je le pose ...
«12...8910...35»