1. Femme BCBG, escorte, non, pute… (109)


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    Après avoir dormi chez Livia, la motarde qui travaille pour l’organisation, ce matin, nous sommes allées m’acheter tout le nécessaire pour faire de la moto en toute sécurité. Hier en revenant d’Orly où elle est venue me chercher, j’ai beaucoup aimé l’air fouettant mon visage grâce au casque à simple visière pour le passager arrière et celui qui venait rafraîchir ma chatte nue sur la selle étant en mini. Comme elle me l’a dit, l’effet des vibrations avec le cuir réduit leurs effets, mais j’ai tout de même un joli début de jouissance lorsqu’elle monte la côte de Champigny à fond les gaz prenant les virages à la limite du décrochage. J’ai la frayeur de ma vie, mais une frayeur limitée, car j’ai une confiance absolue en ma jolie maîtresse et au fil des kilomètres je me décontract. La position que je dois prendre pour aider la moto à monter et surtout à virer ai de plus en plus métrisé. Je m’accroche encore un peu à Livia, mais je sens que mes bras se crispent de moins en moins. • Tu jouis, tu veux que j’accélère, il me reste environ trente pourcents de puissance, nous irons sur l’anneau de Montlhéry pour faire du pilotage extrême comme j’aime. Nous allons à plus de 100 comme sur l’autoroute mais les maisons qui défilent et les voitures qu’elle double me donnent une tout autre impression de ce que peut apporter une moto, une chose me manque l’air sur mon visage car avec mon casque intégral le vent sur mon visage est plus qu’atténué. Pour me parler, Livia doit crier, mais notre ...
    ... matériel est de qualité et je l’entends bien. Dans un virage qu’elle prend à la corde, je suis dans l’obligation de serrer son sein. • Oui, chérie, arrache-moi les seins, ils sont à toi, tu me les rendras lorsque nous serons arrivés. Elle est sûrement venue chez Valérie, car elle s’arrête pile devant le portail et la villa qui semble être désertée, il est drôle que depuis que j’habite ici nos vies soit toujours séparé. Je récupère mes clefs dans ma valise. Comme je le pensais Valérie est absente et il semble que deux personnes aient dîné près de la piscine dans la soirée sans débarrasser. Il est treize heures, j’ai rendez-vous à 14 heures non loin d’ici aussi dès que nous sommes dans ma chambre, j’enlève ma combinaison demandant à Livia de faire de même. • Tu connais, tu es déjà venu dans la piscine de Valérie. • Non, je suis venu porter des papiers deux fois, mais elle était en construction, on peut la voir. • Mieux on va se baigner, tu verras, elle est divine. C’est en courant la main dans la main que nous franchissons la porte de la cuisine nous bousculant une fraction de seconde et que nous sautons ensemble dans l’eau. Je retrouve l’élément que j’aime tant et d’une nage parfaite, je commence à faire des longueurs de bassin. Je suis heureuse, car ma belle cherche à me suivre, mais si elle est la reine de la planche des pompiers et de la moto, elle a encore du travail à faire pour être à ma hauteur en natation. Elle doit fatiguer, car au bout d’un moment elle passe du crawl à ...
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