Abdalla2
Datte: 29/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... du corsage, découvrant ainsi les poitrine libre de tout soutien les seins sont fermes, offerts, les auréoles rosées, les pointes déjà tendues ; sans un regard vers moi, il s’en empare d’une main , lui pétrissant doucement les globes elle se cambre , renversant sa tête en arrière en signe d’abandon, avançant son pubis au contact du membre qui devient perceptible, tendu sous l’ample vêtement. le corsage tombe à terre, bientôt suivi de la jupe protégeant un simple string blanc, qui se détache sur le bronzage ; une main vient se poser sur son pubis et s’infiltre entre les cuisses qui s’ouvrent, laissant libre le passage vers une chatte plus qu’offerte ; je ne bouge pas, lui laissant le plaisir de la posséder pour lui seul ; les gémissements jaillissent des lèvres de Mico, investie par des doigts fureteurs. L’homme est habile et très vite elle jouit, sans retenue, s’offrant, réclamant de son corps une pénétration. Abdala (nous saurons son prénom plus tard) la prend dans ces bras, la porte dans la salle de nos ébats d’hier et la dépose sur le dos sur la couche ; la djellaba tombe au sol et il apparait nu, le sexe bandé, fier, arqué, le gland gorgé de sang. L’écartelant, sans préambule, il la plante d’une seule poussée ; même excitée, sa chatte ne doit pas être encore aux dimensions du sexe car elle ne peut retenir un cri , vite étouffé, et relayé par un feulement de plaisir ; sans brutalité mais avec vigueur, il la lime puissamment s’enfonçant jusqu’à la garde, ses couilles ...
... frappant le bassin ; je ne comprends pas les paroles d’Abdal, mais vu son excitation et la rapidité de ses va et vient, elles ne peuvent qu’être crues ; elle aussi vocifère et réclame « vas-y baise moi, défonce moi, remplit mon ventre, comme tu as rempli mon homme, fait moi jouir comme il a jouit » lui comprend très bien et c’est en français qu’il enchaine « , rassure toi, tu vas en avoir , j’aime vous baiser et demain vos trous seront douloureux tellement nous allons nous en servir » son pistonnage se fait plus puissant, son bassin claquant sur la chaire offerte ; maintenant, les yeux vitreux ,elle crie son bonheur sous le poids de la saillie" donne-moi ta jute, emplit mon ventre de ta ……… » Elle n’a pas le temps de terminer car il vient de se cambrer, libérant sans doute ses jets « putain c’est chaud, jean, il me remplît je jouis……encore… « Puis plus rien . Dans mon coin, le short sur les chevilles, je me branle, essayant de me retenir mais son plaisir me fait partir en longs jets qui s’écrasent au sol. Il vient de se retirer, la queue encore raide ; me rapprochant d’eux, je me penche et ma langue vient lécher le sexe encore plein de semence ; il se laisse faire et j’essaie de le gober, enfonçant le gland au fond de ma gorge, je le branle , ressortant parfois pour lui prendre les couilles entre mes lèvres ; le traitement lui plait car il est à nouveau prêt, me prenant la tête c’est lui qui donne le rythme ; une main se pose sur mon anneau, l’agace et un doigt s’infiltre , ...