1. Je deviens sa femme.


    Datte: 17/07/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... bien ouverte. J'étais obligée de la lécher. Au départ ma langue effleurait ses grandes lèvres sans la rentrer davantage. Elle poussait ma tête jusque qu'à ce que je lui passe la langue tout les long de son sexe. Je continuais. Je la lui mettais dans son antre. Elle frémissait en gémissant. J'arrivais-je ne sais comment à la faire jouir. Elle était satisfaite. Nous baisions tous les jours, heureusement sans non faire prendre, sinon …. Un jour je rencontrais un garçon beau comme un dieu avons vite fait de nous trouver dans le même lit. La première fois n'était pas sensationnelle. Par contre les fois suivantes étaient merveilleuses. Il m'a baiser comme j'aimes Il aimait me sucer: il arrivait mieux que ma collègue à me faire jouir. Ses 69 étaient délicieusement agréable, avec son sperme dans ma bouche: c'était meilleur que la cyprine. Je me souviens de ma première sodomie avec lui: Nous venions de jouir ensemble/ je voulais qu'il recommence. Il était mou. Je me décidais à la faire bander: je posais mon entre jambes sur son torse, de façon qu'il voit toute ma féminité. J'arrivait à ouvrir et fermer mon vagin: il était très intéressé. Je sentais qu'enfin il bandait encore plus. Je me mettais en levrette, me mouillais bien le petit trou. Il venait sur moi, posait sa bite sur ma rosette. Comme je n'avais pas trop l'habitude de me faire mettre par là, il allait très doucement. J'étais totalement détendue. Je le sentais bien quand il me la mettait. Pourtant je n'avais pas mal. Ses vas ...
    ... et viens que j'accompagnais un peu me faisaient jouir plusieurs fois. C'était notre première expérience d'enculage. Depuis beaucoup d'autres on suivies. C'est bien simple nous finissions nos baises de cette façon. Au bureau je devais rompre avec ma collègue. Je ne savais pas trop quoi faire. Je lui avouais que j'avais une liaison avec un garçon. Elle était désespérée. Pour la consoler, je la branlais presque tous les jours, il lui arrivait souvent de me rendre la pareille que je ne refusais pas. Enfin elle trouvait un travail ailleurs. J'arrivais à monter en grade petit à petit. Un jour le patron faisait plus attention à moi. Je ne peux expliquer comment nous nous sommes retrouvés amants. Un jour, il était derrière moi, pendant que je tapais le texte qu'il dictait. Je portais un corsage échancré, il pouvait voir pratiquement mes seins. Si au début il parlait normalement, au bout d'un moment sa voix est devenue plus rauque. Il s'était arrêté: la lettre était loin d'être terminée; Je me retournais pour savoir ce qu'il se passait.Je voyais son regard qui me déshabillait. Je commençais à mouiller. Attirée par la bosse de son pantalon je lui prenais la queue en serrant. Enhardi par mon geste, il passait deux mains sur ma poitrine en me caressant les aréoles et les mamelons. Je les sentais bander. Je fermais les yeux dans l'attente de la suite. Il me faisait lever, nous nous embrassions comme des amoureux de toujours. Il a enlevé mon chemisier pour tomber sur le léger soutien gorge ...