1. En route vers la liberté


    Datte: 29/04/2018, Catégories: fh, ffh, fbi, jeunes, inconnu, fépilée, piscine, hotel, voiture, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus,

    ... odeur devient plus puissante. Elle se met à jouir en ne retenant pas ses cris, ni ses mouvements de bassin. Je lui murmure : — Dis donc, ça te démangeait. Tu m’as fait bander et donné envie, faut qu’on s’arrête ! Je respire lourdement. Je m’engage dans le premier parking et éteins les phares et le plafonnier pour que le camionneur que nous avons provoqué ne nous repère pas. Sans même couper le moteur, j’ouvre mon jean, sors ma bite et commence à me branler. Le visage crispé, je lui montre la boîte à gants. — Il y a une lampe de poche. Prends-la. Éclaire-moi, je veux que tu me regardes ! Elle braque le faisceau entre mes cuisses. Je me masturbe avec rage. Mon gland commence à se couvrir de lubrifiant et il brille dans la lumière. Je m’appuie sur les épaules pour soulever les fesses. — Regarde comme je me branle bien. Tu vois mon trou du cul, aussi ? Je vais te le montrer ! Comme pris de frénésie, je grimpe sur le siège. Ainsi accroupi, je m’exhibe totalement. Vanessa braque la lampe entre mes fesses pour bien voir mon cul et mes couilles qui se balancent. — Tu vois ? Tu vois mon petit trou ? J’ai envie de le toucher. Je me masturbe des deux côtés, enfonçant deux doigts dans mon cul, plaisir que Vanessa m’avait fait découvrir. Quand je sens que je vais exploser, je lui dis, et elle me prend dans sa bouche. En quelques va-et-vient, je me répands au fond de sa gorge en criant. Quand nous reprenons notre route, quelques instants plus tard, nous sommes encore dans des tenues ...
    ... indécentes, moi la bite à l’air et elle à moitié à poil. Nous quittons l’autoroute un peu après Niort, et nous nous enfonçons dans le marais poitevin. La route rétrécit, nous ne croisons plus aucune voiture. Parfois, dans un virage, la lumière des phares se reflète dans l’eau sombre des canaux. Il est dix heures et demie du soir quand nous entrons dans le village de Maillé, on s’arrête devant une petite auberge pittoresque. L’intérieur a conservé son aspect rustique : le sol est pavé de larges pierres polies par les ans, les plafonds sont garnis de poutres. La jeune fille de la réception, une brune au visage fin, aux yeux rieurs et profonds, et aux formes généreuses qui doit avoir à peu près notre âge, nous demande le nom de la réservation. Lorsqu’elle nous demande de la suivre, je vois dans son regard et certain étonnement peut-être dû à notre âge. Elle marche devant nous et se retourne fréquemment. Elle porte une robe légère qui vole autour de ses jambes à chaque marche. La peau de ses cuisses est blanche. Vanessa inspecte la chambre et la salle de bains. La pièce est agréable : meubles rustiques, tableaux champêtres, grandes fenêtres, papiers peints aux teintes chaudes. Le regard de la fille est empreint d’une curiosité qui m’émoustille ; elle doit s’imaginer tout un tas de choses à notre sujet. Elle nous donne les horaires des repas et nous informe que l’auberge met des barques à notre service pour la visite des marais. Elle s’attarde, ouvrant les placards, les fenêtres. ...
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