1. Gang Bang en Caserne (1)


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Trash,

    ... : • Messieurs, comme chaque année, Sainte-Barbe va nous faire son discours de bénédiction et introniser les jeunes sapeurs de l’année. Faites place à Sainte-Barbe ! Sous les applaudissements et les sifflets d’encouragement, Delphine pénètre dans le réfectoire. Elle a laissé détachés ses longs cheveux noirs ; seul un fin bandeau doré marque la délimitation entre sa chevelure et son front. Elle est drapée d’une toge d’un blanc immaculé ceinte d’un ruban rouge qui lui marque les hanches. Au balancement de sa poitrine lorsqu’elle marche, je constate que Delphine ne porte pas de soutif. Dans une main, elle porte une branche de laurier et de l’autre une plaque avec le dessin de notre compagnie. Elle me surprend : elle s’est investie entièrement dans son rôle. Après un petit discours, elle demande aux jeunes sapeurs de se mettre en file devant elle. Ils s’exécutent sans rechigner. Elle demande un bol rempli de bière ; on le lui pose sur la table à côté d’elle. Elle demande au premier de mettre un genou à terre, tel un chevalier prêt à être adoubé ; une fois dans la position, elle trempe le rameau de laurier dans la bière et le bénit avec. Elle lui dit de se relever. Une voix dans l’assemblée se fait entendre : • Embrasse-la ! Il commence à s’approcher de sa joue quand je dis : • Non ! Sur un sein : ça te portera chance ! Sans perdre une seconde et me jetant un regard qui en dit long sur ses intentions, Delphine fait glisser une des bretelles de sa toge et dévoile un des ses ...
    ... seins. Sous une acclamation collective, le jeune s’approche timidement de cette mamelle laiteuse qui lui est offerte. Delphine lui dit : • Alors, tu attends quoi ? Tu n’es pas le seul ! Il l’embrasse timidement et laisse son tour au prochain. Ils s’enchaînent les uns après les autres, plus ou moins timides. Il y a en même un, plus hardi que les autres, qui lui tête carrément le mamelon sans retenue. Une fois tous passés et sous une dernière salve d’applaudissement, nous offrons à Delphine une bière et nous trinquons à Sainte-Barbe. Le repas se passe normalement, alternant quelques histoires salaces et des récits d’interventions marquantes. Les mecs restent courtois avec elle, hormis quelques mains au cul de temps en temps. En milieu d’après-midi, j’attire Delphine dans la remise où se trouvent les camions. • Choisis ton camion et je te baiserai dessus. • La grande échelle ! • Parfait. Je l’attrape par la main et l’entraîne vers le camion. Arrivés à ce dernier, je sors ma bite et la lui présente. • Si tu veux monter dessus, il va falloir que tu me suces d’abord ! Sans un mot de sa part, elle se met à genoux et gobe ma bite d’un trait. Elle me suce divinement bien, alternant entre des gorges profondes et des gobages de couilles. Je la relève, lui retire sa toge et constate qu’elle ne porte pas de string : elle a passé sa journée sans sous-vêtement, mêlée à des pompiers en rut. J’étale sa toge sur le parc échelle et invite Delphine à se mettre à quatre pattes dessus. À peine en ...
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