1. Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (2)


    Datte: 30/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Nue, à genou devant cet homme que je n'avais jamais vu, comment ai-je pu en arriver là ? Comment puis-je avoir pour la première fois, à 35 ans, un désir si fort que je ne puis me raisonner ? Pourquoi l'humiliation et la souffrance me font-ils cet effet ? Je devrais avoir honte, si honte que toute excitation devrait retomber. Je devrais songer à mon mari, et l'idée de devoir le regarder dans les yeux devrait m'interdire toute pensée de me faire prendre par un autre. Et pourtant, rien n'y fait. Rien ne peut contrecarrer ce besoin impétueux. Je ne sais si c'est mon corps qui commande ma tête ou ma tête qui autorise mon corps. La femme raisonnable que j'étais n'est plus. Je ne suis qu'une femelle obéissant à la loi de la nature, quelles qu'en soient les conséquences, une femelle attendant la saillie ! L'homme place un bandeau sur mes yeux. Je serre les cuisses tellement l'envie me vrille le bas ventre. Je sens ses doigts sur ma poitrine. Il joue avec mes tétons, éprouve ma sensibilité, teste ma résistance à la douleur. Mais cette douleur je la supporte silencieusement. En ai-je besoin pour me punir d'être ainsi ? Mon sexe est tellement excité qu'une perle de mouille glisse sur ma cuisse. Je n'en peux plus. Je le supplie de me prendre. Je reçois une paire de gifles pour toute réponse. Puis sa main attrape ma tignasse, tandis que sa queue force ma bouche. Sa main me maintient fermement. Son sexe moins large que celui de Jean-Luc, me baise la bouche de toute sa longueur jusqu'à ma ...
    ... gorge. Son va et vient est ample, régulier, implacable. Ce n'est pas ce dont j'ai envie. Ma chatte me démange comme jamais. J'ose y mettre la main. J'ose espérer qu'il ne me verra pas. Mais le contact de ma mains sur mon clitoris est comme une décharge électrique. Tout mon corps se contracte. Il s'aperçoit de mon geste, sort son sexe de ma bouche, me giffle de nouveau, m'abandonne quelques instants et revient me lier les mains dans le dos avec une paire de menottes. Puis sa bite force encore ma bouche, en un va et vient rapide, profond. Il incline ma tête vers le haut. J'ai du mal à respirer. il enlève le bandeau et me dit : - Regarde moi bien dans les yeux, petite chienne ! Regarde moi bien. Je vais décharger dans ta gorge, et tu vas tout avaler en me regardant. Je suis toujours à genoux les mains attachées dans le dos. Il est toujours debout devant moi, le pantalon sur les chevilles. J'ai sa queue dans la bouche. Je n'ai toujours qu'une seule attente : me faire défoncer la chatte. Alors quand sa semence se répand dans ma bouche, j'enrage intérieurement de ne pas être prise, mais j'avale, je déglutie en silence, j'obéis sans réfléchir. Ma collègue de bureau est là, assise dans le canapé à ma gauche, à 2 mètres de moi, entièrement nue. Je ne l'ai pas entendu revenir. elle me sourit avec un air victorieux. Mon geôlier me guide jusqu'à elle. Son regard est brillant. Elle semble excitée. Elle me parle lentement : - Et bien, si j'avais imaginée que la sainte ni-touche allait me ...
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