Lever de rideau - Histoires de Sexe

Lever de rideau

... note le singulier, je me hâte à pousser la porte laissée entrebâillée pour découvrir le cul de ma femme me faisant face, tendu vers le ciel comme une offrande tandis que son visage est enfoui dans les draps et recouvert par ses cheveux. Sans réfléchir à sa réaction lorsqu’elle découvrira l’identité de son amant, je fais entrer l’étudiant d’un geste rapide de la main et lui offre d’un autre geste le cul de ma femme. Il ne se fait pas prier, s’agenouille au bord du lit et l’enfile d’un trait en posant ses longs doigts foncés sur le blanc derrière de ma tendre épouse. Je caresse mes bourses et mon sexe en me délectant de ce contraste et en louant intérieurement les qualités de notre nouvel amant qui en plus de respecter à la lettre les consignes que je lui ai données, a trouvé le temps d’enfiler une capote sans que je m’en aperçoive… et est en train de ramoner ma femme copieusement ! Je remarque sur le lit le double gode abandonné… voilà donc le jouet que la coquine s’était choisie. Une queue violette pour préparer son con à recevoir une queue marron ! Les mains de mon épouse ne tardent pas à se faufiler sous son ventre et à faire danser leurs doigts sur son clitoris pour accompagner la chevauchée de ce bel athlète vers le plaisir ultime. Cela n’a pas non plus échappé au gaillard qui accélère la cadence. Quelques minutes plus tard, son visage se crispe sans briser sa promesse de silence. Ce qui n’est pas le cas de ma femme qui râle puissamment pour exprimer son plaisir. Le ...

... gars se retire, du sexe de ma femme puis de notre chambre lorsque je lui fais un signe d’au revoir. Lorsqu’il me répond avant de s’éloigner d’un clin d’œil appuyé et d’un pouce aussi dressé vers le haut que l’était sa queue en entrant quelques minutes plus tôt, la mienne a déjà plongé dans le dernier orifice restant à honorer de mon épouse, avec une aisance inhabituelle pour une préparation réduite à sa plus simple expression. Fidèle à la promesse que nous nous étions faite de me réserver exclusivement son cul si d’aventure nous venions à pratiquer le triolisme ou l’échangisme, je reprends possession de mon aimée en la sodomisant avec ce mélange de douceur et de fermeté que nous affectionnons. Je ne tarde pas à jouir à mon tour dans cet écrin qui m’enserre divinement, aidé dans son office par les boules de geisha qui s’agitent dans le mien à chaque va-et-vient. Je m’affale doucement sur le dos de mon épouse et l’enlace en roulant sur le côté pour partager l’inévitable et délicieux câlin post-coïtum. Nous nous félicitons tendrement pour cette séance particulière mais ni l’un ni l’autre n’évoque la présence d’une tierce personne. — J’ai beaucoup aimé le glory hole, mentionne ma femme, sans plus de sous-entendu. A-t-elle vu l’autre queue ? L’a-t-elle sentie en elle, différente de la mienne ? Peut-être l’apprendra-t-elle en lisant ces lignes un jour. Cela l’excitera-t-elle ? M’en voudra-t-elle d’avoir ainsi précipité la réalisation de notre fantasme sans la consulter ni l’en faire ...