Essayage incontrôlé
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
magasin,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
occasion,
... d’accessoires esthétiques peut-être, mais sûrement pas de soutien. Elle prit ses seins à deux mains pour parfaire leur position sous le tissu fin. — Oui, c’est pas mal, dit-elle en riant.— Il reste… le slip, dis-je en pointant mon doigt vers le creux de ses reins découverts par la découpe de la robe. J’eus l’impression que d’un seul coup son sourire restait suspendu à ce mot sans équivoque, et à mon regard planté dans le fond de ses yeux clairs… — Heu ! Ah oui, le slip, répondit-elle tout doucement.— Je peux vous aider si vous le désirez.— M’aider à quoi ? Je me penchai à nouveau pour lui glisser dans le coin de l’oreille : — Vous aider à retirer ce slip qui casse la ligne admirable que votre corps donne à cette robe.— Je veux bien. Je ne sais toujours pas si j’ai imaginé ou si elle a vraiment dit ces mots dans un murmure à peine audible, mais considérant que « qui ne dit mot consent », je lui dis tout en m’accroupissant : — Laissez-vous aller, je me charge de tout. Je saisis le bas de la robe et la remontai doucement, découvrant ainsi peu à peu ses jambes nues. Elle ne disait rien mais remise de son trouble du départ, elle suivait avec un sourire amusé la suite des opérations. Lorsque la robe dépassa ses genoux en découvrant ses cuisses, je lâchai le tissu en laissant mes deux mains continuer la progression sous sa robe. Tout en remontant le long de ses cuisses, je palpais de mes doigts fébriles la douceur satinée de sa peau faisant en sorte de retarder au maximum, cette ...
... ascension érotique. À chaque seconde, je me disais pourvu qu’elle ne me repousse pas, qu’elle ne retombe pas sur Terre en me disant un truc du genre « Mais vous êtes fou, laissez-moi tranquille, enlevez vos sales pattes de là ». Je cherchai son regard à travers le miroir pour saisir un encouragement, même imperceptible, à accomplir cet ultime dépouillement de son intimité. J’étais là, à ses pieds, accroupi, les yeux levés et accrochés au sourire énigmatique qu’elle avait composé. Au moment où mes mains encore timides prirent le chemin, l’une de son ventre et l’autre de ses fesses, caressant maintenant ses formes secrètes à travers le coton confortable de son slip, je pris conscience que rarement mon excitation sexuelle avait connu un tel paroxysme. L’inconfort de ma position rendait par contre mon érection légèrement douloureuse, mais je ne voulais rien changer de peur de rompre le charme. Est-ce que cet inconfort se matérialisait par mon expression ? Je ne peux le dire mais elle retrouva sa voix pour me dire d’une voix basse : — Vous ne semblez pas à votre aise, est-ce que je me trompe ?— Une petite gêne purement masculine… répondis-je mal à l’aise.— Dites-m’en plus.— Eh bien, pour tout vous dire, j’ai une érection très forte et mon sexe est dans une position dans laquelle il ne peut s’exprimer librement et c’est terriblement gênant.— C’est bien fait pour vous, dit-elle en riant. Je me mis moi aussi à rire, et pelotai maintenant ses fesses et son pubis sans faux-semblant. D’un ...