1. Une gamine géniale ?


    Datte: 01/05/2018, Catégories: fh, ff, ffh, 2couples, extracon, Collègues / Travail noculotte, intermast, Oral pénétratio, confession, couplea3,

    ... chatte bâille, mon sang bout. Faire un coup pareil à un homme marié, sevré de relations sexuelles, lui étaler sous le nez un mignon petit cul et une jeune fente aux lèvres rebondies relève d’un sadisme innommable. Quelle famille ! — Tu m’as dit que ta femme t’a quitté. Toi, si gentil. Permets-moi de venir te préparer un repas ce midi. Ce sera pour te remercier de tes bons conseils durant mon stage.— Ce n’est pas prudent, petite. Enfin si tu l’offres si aimablement, viens.— Jamais je n’ai été lesbienne. Mon père, malheureux en amour, m’avait raconté que ta femme avait dévoyé celle qu’il aimait. J’ai voulu te mettre en garde. Mais elle n’est pas venue pour bavarder. — Je n’aurais pas dû me mêler de tes affaires. Je me sens coupable. Toi si droit et si gentil. Pardonne-moi.— Tu n’y es pour rien. C’est la vie. Je me suis mal débrouillé, et puis si ma femme est partie, c’est son affaire. Un jour ou l’autre elle aurait fait ses valises.— Je ne comprends pas. Plus je te regarde, mieux je te connais, plus je me dis que tu es un mec ouf. Ta Louise est aveugle ou dingue. Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Je voudrais voir ton grand lit. Qui lui a parlé de ce lit ? Je lui montre le chemin. La coquine saute sur le matelas et en moins de deux se retrouve nue. — Monsieur, fais-moi l’amour ! La cuisinière est médiocre. Mais la fille sans culotte qui s’est installée dans le grand lit en retirant ses quelques grammes d’habits est de toute beauté. — Rhabille-toi, tu es folle ? Que dirait ton ...
    ... père ?— Que t’a-t-il déclaré en enlevant ta Louise ? Lui, c’est lui. Moi, c’est moi. Allez, viens, j’ai envie de toi depuis si longtemps. Maintenant nos relations professionnelles terminées, nous pouvons faire l’amour sans problème, on ne pourra pas t’accuser d’user de ta position hiérarchique pour abuser de moi.— Rhabille-toi, Chloé.— Ah ! Je ne suis pas assez belle pour toi ? Couchée sur le dos, elle passe ses phalanges sur le haut d’un sexe beau à croquer. Je te plais ? Oui ? Alors prends-moi. C’est le comble de l’invraisemblable. Comment comprendre qu’une jeune fille se jette aussi spontanément dans les bras d’un trentenaire abandonné ? Ma femme m’a quitté, c’est mauvais signe, je ne dois pas être « un bon coup ». Elle ne me l’envoie pas dire : — Ou bien, tu n’as rien dans le caleçon et c’est pour ça… Oh ! Ça fait mal, j’enrage, je craque. Tant pis s’il y a un piège. Je vais lui montrer… Je ne rêve pas, elle m’attend. Ses bras levés vers moi ramènent à leur place deux seins déjà lourds, aplatis par la position, ses lèvres s’ouvrent et le mouvement de la langue pointée en forme de « u » est un appel. Je m’allonge le long du jeune corps, mes mains caressent le velours de sa peau, la font frémir. Nos bouches s’unissent. Je savoure un baiser merveilleux, les yeux plongés dans ses yeux rieurs. Elle m’offre ses seins. Je les couvre de baisers. Sa main appuie sur mon crâne, pousse et ma bouche se pose sur le pubis où fleurit une toison ébouriffée. — Mange-moi Je lui bouffe la ...
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