1. Le piège et ses suites


    Datte: 01/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Première fois

    Avec mon petit ami du moment, par ce beau dimanche de printemps, nous faisons une balade bucolique dans le bois non loin de notre immeuble. C’est en sortant de cette petite forêt que nous rencontrons un ami de Jean, mon copain du moment. Entre eux, c’est les grandes retrouvailles, les embrassades et les accolades sans fin. Enfin, il nous présente sa femme, une belle femme un poil plus âgée que moi. À son cou divinement fin, elle porte un serre-cou avec un anneau sur le devant. J’en ai déjà vu porté par de jeune demoiselle pas encore dégrossies. Mais aussi dans des revues, par des femmes soumises à leur Maître. Très vite, en gagnant une petite buvette à peine sortie de l’hibernation, je me prends d’amitié avec elle et c’est réciproque.Autour d’un verre, Paul, l’époux, nous dit que sa femme a cessé de travailler pour ne plus s’occuper que de leur maison fraichement terminée. Le problème, ce n’est pas qui nous le dise, mais le ton employé qui me chagrine un peu. Il semble dédaigneux dans sa manière de parler de sa femme, comme si elle n’était là que pour lui porter sa bière et lui tailler une pipe. Et Véronique, elle ne bronche pas, ne se révolte pas, complètement passive, comme soumise à son mari.Le pire, c’est qu’au bout d’un moment, d’entendre Paul parler de sa femme en des termes à la limite de a vulgarité, been ça me met en transe, allez savoir pourquoi. Plus tard, nous nous séparons avec une invitation pour un souper, un de ces samedis à venir. Paul nous invite même à ...
    ... passer le weekend dans leur maison. Jean se fait un plaisir d’accepter alors que moi, je suis un peu plus sur mes gardes sans encore savoir pourquoi.Bref, trois semaines plus tard, ce n’est pas un samedi, mais un vendredi soir que nous rejoignons Paul et Véronique. Il est vrai que la maison n’est pas petite. Sur un étage, je préfère, elle couvre une sacrée surface et le terrain tout autour, est immense, presque plus grand qu’un terrain de foot.Jean sonne, il tient le sac contenant nos petits présents. C’est Véronique qui nous ouvre, tout sourire de nous voir enfin débarquer. Après nous avoir fait la bise, elle nous conduit au salon en s’excusant de ne pas nous suivre. Elle prétexte un petit contrôle de son souper.Dans le salon, c’est tout juste si Paul se lève pour nous accueillir. Il semble même distant au moment de me serrer la main. Je dirais même froid comme un iceberg. Bref, Véronique accoure nous servir un verre, elle s’est changée pour une robe très courte, s’ouvrant sur le devant. De plus, elle est pied nu. Mais c’est à son cou que le changement est le plus flagrant, elle porte un collier de cuir, comme celui que portait Rex, le chien de mes parents, c’est un collier étrangleur. Mes yeux exorbités ne peuvent plus quitter Véronique. Si elle m’impressionne, le mot est faible. Surtout que je venais de terminer la lecture de cinquante nuances de Grey. Dans ma tête, je n’ai plus de doute, Véronique est une soumise. Alors qu’elle retourne à la cuisine, j’en profite pour la ...
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