1. COLLECTION LE MARIN. Casablanca (2/5)


    Datte: 01/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Il y a quelques mois que je n’ai pas raconté une histoire du marin que j'étais quand j’avais 18 ans. C’est Radia, qui raconte comment sa jeune existence se déroule au Maroc, qui m’a fait me souvenir que nous avions, il y a longtemps, fait escale à Casablanca. Ce souvenir est gravé dans ma mémoire. J’étais de corvée à l’ambassade de France pour écouter les discours des officielles quand j’ai fait la connaissance de Qamar. Elle avait 30 ans et était divorcée d’un monsieur épousé à 18 ans ½ par obligation. C’est son père qui le lui avait présenté, il avait 52 ans. Au Maroc il est possible de divorcer c’est ce qu’elle a fait, profitant d’une maladie survenue à sa belle-mère qu’elle craignait. J’arrive donc à monter chez elle, j’arrive à lui défaire ses habits, sauf ses bas et son porte-jarretelles que je lui laisse, trouvant ça plus érotique. J’arrive à lui présenter ma verge afin de tirer littéralement un coup. J’arrive à me faire expulser, attention pas de chez elle, mais de son vagin car cela ne lui convenait pas. J’allais faire, comme les rares fois à cette époque où un jeune arrivait à coucher une fille, souvent considérée comme une salope, à peine entré dans son sexe et déjà fini, bonsoir madame ou mademoiselle, à la prochaine. Je dois aussi reconnaître, comme je l’ai dit, que souvent la première femme d'un marin était une des putes qui foisonnaient dans les ports du monde entier. Là, oui, ceux qui montaient avec elles, allaient tirer un coup, sans plus et repartir. Je dis ...
    ... « ceux » pas pour me dédouaner, mais j’ai eu la chance de me faire dépuceler par une jeune fille de bonne famille dans une boom. Ça a été un accident pour elle, elle ne pensait pas faire l’amour cet après-midi là. Cet « après-midi » car dans ces années-là, juste après-guerre, nous ne sortions pas le soir. D’où les mariages assez jeunes pour faire comme nos parents. Qamar, elle, va m’apprendre la patience, la patience sexuelle. - Christian, tu es un brave garçon, quand j’ai été mariée avec mon mari, je suis devenue sa chose, entièrement sous sa coupe. Il décidait de tout, il m’imposait jusqu’à nos actes sexuels. Je t’ai parlé de ma belle-mère car hors de mon mari, elle était toujours derrière moi, elle contrôlait tout. Depuis que je suis divorcée, je me sens libre mais je garde pour moi si j’ai eu des amants ou si tu es le premier, c’est mon jardin secret. - Que veux-tu que je fasse pour te satisfaire ? Elle a éclaté de rire. - Je vais t’aider au départ, mais c’est à toi de sentir ce que je veux. Un exemple. À l’ambassade, j’ai vu que tu regardais mes seins, j’ai toujours un bouton défait, montrant le début de ma vallée. Pour commencer, comment les trouves-tu ? - Euh ! - Voilà, ton premier travail, apprendre les codes, connais-tu les différents seins de femmes ? - Euh ! - Si notre conversation n’est ponctuée que de « euh » nous n’avancerons pas. - Tu sais, je n’ai pas fait beaucoup d’études à part le Cid de Corneille, dont nous avons parlé tout à l’heure, ma culture c’est la ...
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