S.O.S. Sorcières (1)
Datte: 01/05/2018,
Catégories:
Trash,
... soupir de soulagement. Si elle parvenait au bout de son plan, elle pourrait enfermer le fantôme. L’esprit s’éleva en hauteur, et elle sentit des gouttes d’ectoplasme visqueux lui tomber dessus, elle eut envie de se frotter la peau tellement la substance était repoussante, mais elle n’avait pas le temps. Quand elle vit que l’esprit était entre les quatre murs, elle cria en agitant sa baguette : «elbisivni egaC ! » elle sentit à travers sa baguette que le plafond se formait. Le fantôme était maintenant prisonnier, et elle avec. Un esprit étant par essence immatériel il devrait pouvoir traverser un mur, même magique, sans que cela ne lui cause le moindre souci. Mais dans sa fureur, il avait pris pied dans le monde physique comme le montrait son ectoplasme. Il finirait bien par s’échapper de la cage invisible, mais cela lui prendrait plus de temps, peut-être un quart d’heure… assez pour mettre au point une stratégie pour le bannir. Alors qu’elle sentait avec horreur l’esprit ectoplasmique se presser contre elle, il ne lui restait plus qu’à partir, pour cela elle n’avait qu’à recommencer son sort de téléportation : «noitapor… », mais elle ne le finit pas. Un tentacule d’ectoplasme était entré dans sa bouche, l’empêchant de prononcer le moindre son supplémentaire. La substance gluante était encore pire au goût qu’au toucher, l’impression de lécher de la viande pourrie depuis des mois. Toute sa bouche était engluée par cette sorte de gerbe verte, et cela bougeait… C’était ...
... horrible, mais pas autant que quand elle sentit sa culotte glisser contre ses jambes... Au même moment Delphine fonçait dans les escaliers jusqu’à atteindre la chambre à coucher. Elle y entra sans perdre un instant, et elle remarqua immédiatement la forme humaine ectoplasmique répandue sur la moquette. Elle s’en approcha, et avec un léger dégoût, posa la main dessus. Elle concentra toute sa psyché dessus pour établir une connexion mentale avec la chose. Elle ferma les yeux, tenta de retrouver son calme et peu à peu une vision prit forme dans son esprit. Elle se retrouvait dans la chambre à coucher, mais il y avait quelque chose de changé, la moquette était différente, et la disposition des meubles aussi. Son attention fut attirée par ce qui se passait sur le lit. Madame Hauvert y était, avec un homme, et qui n’était pas son mari. Madame Hauvert avait montré suffisamment de photos de leur couple pour qu’elle en soit sûre. Le type n’était pas très costaud, mais au vu des habits sur la chaise il devait être riche. Madame lui suçait la bite, le type fermait les yeux, il semblait prendre son pied. Il faut dire que Madame semblait être une experte en la matière, elle avait la queue tout entière dans sa gorge, elle faisait des va-et-vient rapides et avec des bruits de succions qui laissaient supposer qu’elle pompait le chibre bien à fond. Le type finit par lui faire lever la tête. — Maintenant, salope, je vais te baiser comme tu le mérites. — Oh oui, vas-y. J’ai la chatte en feu, j’ai trop ...