1. Echanges de mails entre hommes (3)


    Datte: 01/05/2018, Catégories: Gay

    Nos échanges semblent lui plaire, et je reçois un nouveau message. Lui: Monsieur, Vous êtes trop bon, tant de délicatesse avec votre salope. Je rentre du taf et je me détends à la maison. Je suis nue avec le plug toujours dans mes fesses; au départ c’est gênant, mais à la fin je ne le sens plus. Je reçois votre communication, me demandant si j’ai un grand manteau. Je vous réponds que oui: — Alors, salope, tu prends ta douche et tu te ramènes à la maison, toute nue sous ton manteau ouvert. Bien entendu tu prends les transports en commun, pas de taxi. Je suis déstabilisée, comment vais je faire, on va voir que je n’ai qu’un manteau. Prise au jeu, je décide d’exécuter les ordres. Quand je sors dans la rue ,je sens le froid saisissant ,et je cours pour aller jusqu’à la station de métro. C’est l’heure de pointe, waouh tout ce monde!. Je monte dans une rame, on est pressé comme des sardines. Le long du trajet, je sens une main qui me caresse, et je laisse faire l’inconnu, sans doute un homme. A un moment, il s’enhardit et cette main vient me caresser le sexe. Cette caresse maladroite est excitante. Je vois un homme, juste à côté de moi, qui me fait un clin d’oeil. Il est gros et laid, mais je m’en moque, il me fait du bien. Il accélère ses mouvements, je sens le plaisir monter A un moment donné, il doit s’arrêter, le métro faisant une halte. Une fois la rame repartie, cet homme continue de me branler avec vigueur. Je suis sur le point de jouir, c’est à cet instant qu’il ...
    ... s’agenouille discrètement et je sens sa bouche sur ma bite. Il me pompe avec douceur, mon plaisir est quasiment immédiat, tellement je suis étonnée de cette fellation improvisée. Je gicle à grosses saccades. Il se relève, et me fait un baiser de loin. Je suis vraiment une salope, et m’excuse de ce qui c’est passé. A vous monsieur... Moi: Pute, J’aime savoir que tu peux bander et jouir. Ca m’ouvre des horizons nouveaux. Je t’ai donc fixé un nouveau rendez-vous, et tu te pointes en bas de chez moi. On prend ma voiture, et on roule. — On va où, monsieur? — Ferme là, économise tes forces, je vais te faire bosser. Il y a une petite forêt à une demi-heure de route, et je m’y dirige. Elle est réputée comme lieu de tapinage pour des putes, des femelles, des vraies filles, pas comme toi. On arrive, il y a quelques voitures garées à quelques mètres les unes des autres, et des filles, habillées en pute, qui attendent à côté. Je m’arrête juste après la dernière: — Tu as ton téléphone? — Oui Monsieur, — Bon, alors tu descends, ton manteau bien ouvert, et tu attends les clients. Je te laisse, tu m’appelles quand tu en auras satisfait au moins trois, gratuitement bien sûr. — Non Monsieur, vous... Je ne te laisse pas finir. Je te saisis par les couilles, les presse, et tu comprends que tu dois obéir. Tu descends et je m’en vais. Raconte moi tes divers clients. Raconte moi aussi comment les filles qui sont des professionnelles réagissent en te voyant chasser sur leur terre. Bisous salope Lui: Monsieur, ...
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