NASSIMA ET SES FILLES Deuxième partie NAWAL
Datte: 01/05/2018,
Catégories:
Humour,
Anal
Inceste / Tabou
... était capable de détourner du droit chemin n’importe qui, y compris un saint. Je ne connais personne capable de la regarder sans éprouver l’envie de la tirer. Elle avait, posé sur son bras, un long manteau noir, me faisant penser qu’elle le portait à l’extérieur et qu’elle n’avait dû l’enlever qu’au moment d’entrer dans le bureau de Soraya. Je m’avançais vers elle, le bras tendu devant moi, pour lui offrir une poignée de main franche et amicale. Elle ignora ma main et préféra me faire la bise. Cela commençait bien !Je la fis asseoir sur le grand fauteuil en faisant une prière pour que sa robe n’éclatât pas. Elle résista mais remonta tellement haut qu’elle découvrit et ses cuisses et son entrecuisse. Et le petit triangle de son string rouge qui laissait tout deviner de son jardin parfumé. J’essayais de ne pas regarder, mais mes yeux étaient attirés comme un aimant par le spectacle. Elle savait qu’elle était entrain de me faire bander et son sourire s’accentua en me regardant bien dans les yeux.- Je suis belle, n’est-ce pas ? Tu as envie de me tirer, là tout de suite ! Je suis venue pour cela. J’ai appris récemment que tu as été l’amant de maman. Or tous les amants de maman doivent devenir les miens. Les amants précédents, je les lui ai tous enlevés ! Toi, elle t’a gardé au secret ! Je ne l’ai su que pendant la fête, en voyant la manière dont tu la regardais et ton air malheureux. J’ai cuisiné Amal et elle a fini par m’avouer votre relation, en me disant qu’elle était ...
... heureuse que je n’aie rien pu faire pour vous séparer. Mais qu’importe, elle souffrira beaucoup quand elle apprendra que tu m’as sautée, comme m’ont sautée tous ceux qu’elle a aimés, son mari y compris.J’étais totalement abasourdi par cette entrée en matière. Je ne savais absolument pas quoi dire ou faire. Elle continua son soliloque :- Elle t’a raconté pour son mari ? Bien sûr ! Mais c’est son histoire à elle qu’elle t’a racontée ; pas la vérité ! Elle t’a dit que son mari m’avait violée et qu’à la suite de cela je suis tombée enceinte ; et qu’elle m’a fait avorter. La réalité est toute autre. Tu veux que je te la raconte ? Tu veux que je te raconte comment je me suis fait dépuceler par mon beau père ! Tous les amants de ma mère ont bandé comme des ânes quand je la leur ai racontée. Voila ce qui s’est réellement passé : à dix huit ans, j’étais une femme. J’avais tout ce qu’il fallait : une belle croupe ; des jambes magnifiques; des seins qui avaient déjà un volume appréciable, la bouche que j’ai maintenant ! Et par dessus tout une envie très forte de faire l’amour ! Toutes les nuits, pendant des années, depuis que j’avais l’âge de quatorze ans, j’entendais maman et mon beau père s’envoyer en l’air comme des bêtes. J’entendais ma mère prendre son pied et crier son plaisir. Je l’entendais dire des cochonneries sur la taille du zob de son mari ; sur tout le bien qu’il lui faisait quand il la pénétrait de partout.- Arrête, s’il te plait, je ne veux pas connaître la suite. Cela ne ...