LES 12 DELICIEUX ET PENETRANTS TRAVAUX D'EMMA (1)
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
Erotique,
... accueillant, qu’il remplaça vite par un vibro de taille moyenne. J’avais envie de lui, de tout envoyer balader et de le baiser, j’avais envie de jouir, j’avais envie qu’il continue, intenses sensations. Il sentait peut-être que je me déconcentrais car sa main atterrit plusieurs fois sur mon postérieur. Je fis ma rebelle : « oui, plus fort, je vais jouir ! ». Je me retrouvai avec un gode dans la bouche. Il me dit : « fais-moi penser à t’acheter un bâillon à boule ». Je l’avais bien cherché. Puis sans se presser il commença à masser mon petit trou d’une main, tout en maintenant le gode dans ma bouche de l’autre, sans douceur excessive, parfois un doigt s’égarait et forçait la porte. Dans l’état où j’étais il aurait pu mettre toute la main, j’aurais sans doute hurlé de plaisir.Il prit enfin le temps de se déshabiller complètement, son joli sexe parfaitement dressé me faisant de plus en plus envie. Il se munit ensuite de deux nouvelles pinces qu’il positionna entre les deux autres, sur les pointes de mes seins déjà douloureux, oh pitié, puis passant derrière moi et me massant vigoureusement les fesses au passage, enclencha la vibration du membre en latex niché dans mon sexe. Très vite je fus au bord de l’orgasme, mais avant cela son pénis chaud avait pris le relais du gode dans ma bouche. Je jouis tout en le suçant, me raidissant pour ne pas trop bouger, me retenant pour ne pas crier, ce qui me fit ressentir encore plus fort les spasmes d’un orgasme qui semblait ne plus en ...
... finir. A ma surprise il se retira immédiatement, repoussant l’instant de son plaisir il avait le souci de ne pas me faire souffrir et retira vite les pinces, le passage de la jouissance les ayant rendues cruelles. Il m’allongea ensuite complètement sur le ventre et c’est ainsi qu’il me pénétra jusqu’à son explosion humide, dans un plaisir renouvelé pour moi.Nos rencontres suivantes furent toutes très différentes mais commençant de la même manière, je lui tournais toujours le dos, l’attendant dans ma chambre ou dans le couloir, debout, à 4 pattes, à genoux selon mon choix. Il me caressait et me prenait la plupart du temps par derrière, usant de ma chatte comme de ma rosette. Parfois il choisissait de me combler et de se repaître de moi sans accepter que je le touche, parfois il s’offrait sans résistance à mes caprices et à mes caresses, d’autres fois encore nous n’utilisions que nos mains et nos bouches, alors que mes orifices étaient abondamment remplis par un gode et un plug. Nous étions rarement face à face durant nos ébats, si nous l’étions c’était en général moi à genoux ou accroupie pour le sucer. Nous ne nous retrouvions l’un contre l’autre de tout notre corps qu’après, nous embrassant à pleine bouche et nous réjouissant de ce chaud contact.Nous avions choisi une voie précise, ne parlant jamais de nos vies, ni de sentiments ou d’avenir. Les rôles que nous avions endossés, le fait de chercher un plaisir toujours plus fort en gardant une certaine distance, tout cela excluait ...