LES 12 DELICIEUX ET PENETRANTS TRAVAUX D'EMMA (1)
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
Erotique,
... encore une période où mes fidèles toys furent très sollicités.En attendant je continuais mes sorties et mes rencontres avec d’autres , je communiquais mon emploi du temps à T. et ce fut pour lui une friandise supplémentaire que de connaître toutes mes folies, de m’imaginer sous d’autres mains. Perversement, il choisit une nuit suivant un vendredi après-midi que j’avais passé dans un sauna avec un partenaire d’un soir. Je fais une petite parenthèse, c’était un débutant bien sympathique, un peu timide au début et sans doute surpris par l’ambiance des lieux. Il se laissa pourtant entraîner et en fut récompensé, d’abord un moment très agréable à deux terminé par – selon ses dires – un pipe mémorable, puis un trio avec un habitué de l’établissement que j’avais déjà repéré, le genre bien musclé, bien monté et pas timide, lui. J’avais donc fini mon après-midi avec unsexe dans la bouche et un autre particulièrement endurant dans la chatte, en passant par une joyeuse mêlée dans un jacuzzi plein de mains et de bouches, et je me sentais somme toute rassasiée. Fin de la parenthèse.Quoi de plus alanguissant, je m’étais couchée les sens apaisés et la peau douce, les cheveux encore humides. C’était un jour marqué « occupé » et je n’attendais donc plus de visite, naïve que j’étais. Nue dans mon lit suivant mon habitude, la fenêtre ouverte mais la porte fermée. Je ne sais pas quand je me suis endormie et je ne sais pas à ce jour à quelle heure le sentiment d’une présence m’a réveillée. Je ...
... n’avais pas entendu la clé tourner dans la serrure, je ne savais pas depuis quand il était là. J’espère juste que je ne ronflais pas.Il se tenait à côté du lit, me regardant... J’ai eu une demi seconde de panique avant de réaliser. J’ai tout de même choisi de jouer l’étonnée et la râleuse. « mais qu’est-ce que vous faites là, j’ai sommeil... ». Il chuchota : « rendormez-vous je m’occupe de tout, vous me feriez bien une petite place ? ». Je fis mine de me rendormir. Je sentais sa présence tandis qu’il se déshabillait, son odeur agréable, un bon point. La curiosité me rendit derechef insomniaque. J’étais sur le dos comme une chatte alanguie, boudeuse. Il souleva légèrement la couette, puis complètement. Se posant à côté de moi, il commença juste à m’effleurer de ses doigts, puis de ses mains chaudes et légèrement émues m’a-t-il semblé. Une petite langue qui sort et réveille la pointe de mes seins, quelques doigts qui caressent le tout bas de mon bas-ventre... Trop facile, je grogne et je lui montre mon dos, enfin quand je dis mon dos, traîtresse, ce fut mes fesses...Un machin tout dur qui se colle à mon postérieur, la couette qui se pose à nouveau sur nous. J’avais beau dire que je n’avais pas envie, avec ma chatte humide et les pointes de mes seins dressés je n’étais pas très crédible. Le compagnon de T. était à mon goût, très à mon goût même, et je m’empressais de le lui prouver goulûment, à pleine bouche. Rien de tel qu’un baiser pour évaluer l’adversaire, c’est sans doute ...