1. Plage naturiste


    Datte: 17/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Comme à l’habitude, je me rends en vélo à la plage naturiste de La Palmyre en empruntant la très accidentée piste cyclable qui quitte Royan par le nord en passant par Vaux et Saint Palais. La chaleur est accablante. La piste monte et descend sans cesse et nécessite de nombreux efforts. Passé les falaises et les splendides terrasses accueillantes de la très touristique « Grande côte », je renonce à mon désir de rafraîchissement et m’engage dans les raidillons qui franchissent successivement les dunes. Plus d’une fois mon élan est coupé par des estivants qui traversent la piste à pied pour se rendre à la plage. Je me laisse griser par la vitesse due aux fortes pentes et cela me permet d’effacer les côtes qui suivent sans effort. La plage naturiste est très accessible et on y parvient par un court chemin à travers une jolie pinède torturée par le vent. J’attache mon vélo au dernier arbre en bord de plage, jette mes affaires dans un espace libre sur le sable, me déshabille et me rue vers l’eau. J’entre doucement dans une mer agréablement fraiche et savoure ce délicieux moment. Voilà juste un an que j’ai redécouvert la baignade et apprécié pour la première fois les plaisirs du naturisme qui convient bien à mon tempérament exhibitionniste. Je laisse mon regard errer sur les nombreux baigneurs exposés sur le sable. J’admire ces corps nus indécemment superbes sous le hâle. Plaisirs combinés des yeux et de l’eau fraîche sur ma peau découverte. Lorsque je sors de l’eau et regagne ma ...
    ... natte pour m’y allonger, je me sens en osmose avec les baigneurs. Je les trouve étonnamment beaux dans leur nudité. Nombre d’entre eux ne sauraient attirer mon regard s’ils étaient habillés et pourtant, je me laisse séduire tant par le bronzage des uns que par la blancheur laiteuse des autres. Je regrette mon bronzage agricole où mollets, bras et tête dénotent par rapport au reste du corps. Devant moi, un svelte athlète vieillissant délicieusement caramel voisine avec le dandinement d’un superbe cul blanc et la grosse dame qui va avec. Si l’un ou l’autre approche, je lui donne libre accès à toute mon anatomie, mais rien ne se passe. De nombreux vacanciers sont joliment étalés sur le sable. Trois jeunes femmes totalement imberbes exhibent leur sexe entre leurs cuisses largement écartées. La plus blonde des trois laisse voir une fente longue, disproportionnée par rapport à sa taille. Je pense « une chatte à fister » et continue mon chemin. Arrivé à ma natte, je me précipite sur mon téléphone qui avertit d’un message. Impossible de déchiffrer celui-ci tant le soleil est ardent et se réfléchit sur l’écran. Je me rue à couvert de la pinède en haut de la dune, mon outil à la main. A peine abrité dans l’ombre des conifères, je concentre mon attention sur mon portable sans jeter le moindre coup d’œil autour de moi. Je suis donc rempli d’étonnement lorsque je sens une main douce se saisir de mon sexe tandis qu’une autre caresse mes fesses. Mon cœur s’accélère et ma respiration devient ...
«1234»