1. Fiction. La saga de l'ascenseur. Partie 3 Le cadre et l'intérimaire La signature d'un contrat au Mexique.


    Datte: 02/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... disposition pendant notre séjour. Nous prenons possession de notre chambre, immense avec un lit bas de plus de deux mètres de côté. Dans la salle de bain attenante, nous trouvons une série des maillots de bains de tailles diverses que nous nous empressons d’enfiler. Il nous faut profiter de la plage tant qu’il fait jour. Pendant qu’Alice ôte ses vêtements pour revêtir un maillot deux pièces assez réduit, je la lutine un peu, frôlant ses seins encore découverts ou ses fesses où le maillot se réduit à une bande de tissu large de deux doigts à peine. Mon maillot a bien du mal à contenir mon sexe qui bande légèrement. Le spectacle du déshabillage d’Alice m’a quelque peu échauffé le sens. Dès que nous sommes prêts, nous courrons vers la plage en nous tenant par la main comme le feraient deux amoureux. Ne sommes-nous pas des amoureux, amants ardents et passionnés ? Nous entrons dans l’eau tiède et limpide où le nombre de baigneurs est très réduit. Nous nageons vers le large pendant quelques temps. L’eau est peu profonde et nous profitons d’un haut fond pour nous reposer un peu. Alice est une bonne nageuse. Elle a suivi mon rythme sans difficultés. Debout dans l’eau je l’enlace et lui prend les lèvres dans un doux baiser. Alice me souffle à l’oreille : • Merci Lucas ! Je n’oublierai jamais tout ça ! • Moi non plus ma petite biche…» Comme nous sommes hors de vue des autres baigneurs, je dénoue les cordons du maillot d’Alice et je retire son soutien gorge que je noue autour de mon ...
    ... poignet. Je peux ainsi caresser sa jolie poitrine dont les tétons sont dardés. Je les fais rouler entre mes doigts et Alice vient emprisonner ma bite dans sa main droite pour la masser. J’ai une érection majestueuse. Mon gland sort de la ceinture du maillot. Heureusement nous sommes loin et dans l’eau. Je glisse une cuisse entre celles d’Alice et je lui fais sentir le désir que j’ai d’elle. Nous sommes toujours enlacés, bercés par la houle, nous nous embrassons et nous nous caressons : • Viens sur la plage. Nous nous désunissons et en nageant lentement l’un à côté de l’autre nous nous dirigeons vers la rive. Dès qu’il ne reste plus que quelques dizaines de centimètres d’eau, nous nous allongeons sur le sable et nous roulons l’un sur l’autre, les jambes léchées par les vagues. Nous sommes deux jeunes amoureux follement épris, guidés par une envie irrépressible de sexe. Ma verge raide, frottant chaque partie de son corps, est comme un rouleau qui détend ses nerfs et la pousse à oser des caresses et des gestes qu’elle n’aurait jamais faits auparavant, sans ces préliminaires excitants. J’ai l’impression qu’elle va hurler fort à chaque fois que ma main glisse entre ses cuisses ruisselantes de mouille. A la nuit tombante, nous revenons vers la villa. Nous passons rapidement ensemble sous la douche pour nous débarrasser du sable et de l’eau salée qui a séchée sur nous. C’est encore l’occasion de baisers et de caresses. Nous enfilons des vêtements légers et nous passons à table. Nous ...
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