1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1170)


    Datte: 02/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1169) - Et il m’écarta les jambes pour liés également mes chevilles… Il me caressa du bout de ses doigts de la base de mes cheveux, en passant le long de l’échine, le bas de mes reins passant par la raie de mes fesses jusqu’à mon anus, toujours orné du profond plug frappé des Armoiries du Maître avec à son extrémité extérieure un saphir d’un bleu brillant. Il joua quelques instants avec, le tournant, le faisant aller de bas en haut, de gauche à droite. Quand soudain, il l’enleva d’un coup sec, m’observant pour surprendre un son, une tentative de mouvement. Mais je restais totalement impassible ! Il rentra alors son index à l’intérieur, testant l’élasticité de mes parois anales. Mais avant pour ne pas s’encombrer du bijou qu’il tenait, il me le mit dans la bouche avec l’interdiction de le faire tomber. Ce plug envahissant toute ma cavité buccale… Alors, je sentis quelque chose de dur et chaud se présenter à l’entrée de ma rosette déjà fortement dilatée par le long plug. Je compris de suite qu’il s’agissait du gland épais de sa grosse verge dressée. Il le frotta de haut en bas tout le long de ma raie, s’attardant à l’entrée de mon anus quand soudain il s’y enfonça d’un coup jusqu’à la garde, et il fit de suite des mouvements amples et rapides. Ma dilatation anale (dont le seul but du profond plug était que mon cul soit toujours disponible à être possédé par n’importe quelle personne que le Maître déciderai de me ferai ...
    ... prendre à n’importe quel moment) lui facilita la tâche et m’évita de ressentir une douleur. Au contraire, j’avoue avoir ressenti un plaisir savoureux à cette saillie bestiale, animale, profonde et subite ayant justement un anus bien préparé, dilaté… Je n’étais là que pour lui servir de vide-couilles ! Il s’activait en moi, me maintenant les hanches fermement tout en accentuant ses coups de reins puissants, m’enculant avec frénésie. Je sentais ses couilles frapper mes fesses alors qu’il me pilonnait sauvagement. Il me besognait sans ménagement, je n’étais qu’une marionnette, qu’un jouet de plaisir, qu’un objet sexuel juste bon à lui donner du plaisir. Il ne se souciait pas du mien, il me baisait le cul comme un mâle en rut ne se préoccupant pas du ressenti de la femelle en chaleur que j’étais. Heureusement que mon éducation de soumise-esclave m’avait appris à bien gérer ce cas de figure, (ou ce cas de cul, si je puis dire !) le Maître m’avait appris à m’accoutumer à ce genre de sodomie subite et sauvage et j’avais acquis la faculté à vite trouver du plaisir à me faire enculer ainsi, comme la véritable chienne salope en chaleur que j’étais… Ses coups de boutoirs devenaient extrêmement puissants, rapides, ce qui laissait présager sa jouissance qui ne saurait tarder à entendre sa respiration qui s’accélérait … Effectivement des râles de plaisirs jouissifs sortirent de sa bouche au moment d’éjaculer, alors il se retira très rapidement et gicla sa semence en des jets saccadés de sperme ...
«1234»