1. mon métier de médecin


    Datte: 02/05/2018, Catégories: Gay

    ... déshabiller. Le premier à poil gagnait le titre de roi de la soirée et pouvait infliger des gages. Les filles étaient épargnées, mais profitaient tout comme moi du spectacle de sexes du plus petit au plus impressionnant dont le propriétaire s’amusait à agiter de gauche à droite.Je recherchais toujours des moyens de regarder la nudité en général, plus particulièrement celles des hommes. Les activités sportives étaient souvent l’occasion de mater durant la douche collective. Je décidais d’aller passer quelques jours de vacances dans un camp naturiste dans lequel je pouvais voir les objets de mes fantasmes. Il y avait ceux qui faisaient leur jogging, leur sexe en mouvement, ceux qui allaient dans l’eau leur sexe et testicules bien détendus, ressortant de l’eau avec leur attribut plus compact, celui qui partait le sexe décalotté, ressortait son gland recouvert de son prépuce rétracté. J’ai même vu un couple marchant sur le sable, dont le gars avait un début d’érection qu’il ne cachait pas, presque fier de son état.J’avais découvert le plaisir de ne rien porter sous mon short lorsque je faisais mon jogging, sentant mon sexe se balader au rythme de ma course, même parfois selon ma pensée avoir une érection que je maitrisais pour ne pas choquer les coureurs croisés, ou bien sous mon pantalon, en particuliers lorsque j’étais de permanence nocturne à l’hôpital. Lors de mon internat à l’hôpital, j’avais accès à la nudité de certains patients. Je me rappelle, une nuit de garde, un ...
    ... jeune homme qui devait subir une intervention chirurgicale nécessitant le rasage intégral de son intimité avait demandé à l’infirmière de garde si cela pouvait être fait par un homme. Je ne me fis pas prier pour le faire. Je m’annonçais en entrant dans sa chambre en disant : « Voilà le barbier ! »J’avais devant moi un jeune homme d’une vingtaine d’années, avec une chevelure frisée brune très fournie, une barbe de trois jours, un sourire ravageur pour cacher son embarras. Il me remercia d’avoir accédé à sa demande que ce soit un homme qui le rase. Pas de souci, répondis-je.Je lui dis qu’il devait se détendre, et pour cela mettre ses bras sous sa tête, que cela allait bien se passer. Ses aisselles étaient aussi bien fournies. J’ôtais le drap qui le recouvrait. Il était en caleçon. Je lui demandais de soulever son bassin afin de glisser une alaise sous ses fesses. Une fois l’alaise mise en place, je retirai son caleçon. Je découvris un superbe sexe bien calotté reposé sur ses testicules, le tout dans une toison de poils noirs assez denses. En rigolant, je lui dis qu’il y avait du boulot.Je commençais par désépaissir aux ciseaux en soulevant des touffes de poils, les coupants assez ras. Ma main tenant les ciseaux reposait sur le début de sa verge toujours bien sage. Je dus écarter ses jambes pour accéder sur le côté de ses boules de belles proportions Tantôt je les repoussais d’une main et coupais de l’autre, tantôt je devais les soulever pour tailler dessous. Lui était toujours dans ...
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