La rencontre - Histoires de Sexe

La rencontre

... mérites. Tu ne dois maintenant plus jamais rien me cacher, tu n’auras plus aucun tabou. Et puisque tu es maintenant ma chose, je veux voir dans les détails ce dont je suis propriétaire. Retrousse ta jupe sur tes hanches et écarte ta culotte Sans me poser la moindre question, je relève ma jupe et tire sur ma culotte pour lui exposer mon sexe, sans aucune pudeur ; je fais cela sans réfléchir, comme chez le médecin. Jamais je n’ai été aussi indécente. De moi-même, j’écarte les cuisses et montre à la caméra les moindres détails de mon intimité. — Bien Sophie. Je n’aime pas tous ces poils ! Nous nettoierons tout cela. Maintenant, tourne-toi, montre-moi tes fesses et retire ta culotte. Toujours sans la moindre pudeur, je me retourne et offre mon postérieur à la caméra. Sous les ordres de ma Maîtresse, j’écarte même mes globes pour montrer mon petit trou. — Est-il vierge, ce trou, Sophie ?— Oui Maîtresse.— Totalement ?— Oui Maîtresse, jamais rien ne l’a pénétré.— Tu es parfaitement consciente qu’il ne le restera pas ?— Oui Maîtresse, il est votre propriété.— Oh, ma petite cochonne, je n’en peux plus… Donne-moi ton adresse, je viens immédiatement ; tu sembles en avoir tellement besoin !— Mais, Maîtresse, on se connaît depuis si peu de temps…— Tu te souviens de tes promesses Sophie ? Ne commence pas à désobéir !— 43, rue de Paris— J’arrive ! Tiens-toi prête. Je serai chez toi dans 45 minutes environ. D’ici là, tu ne bouges pas, tu te mets à genoux devant ta porte d’entrée, et surtout, ...

... tu ne te caresses pas… Retire tes pinces, je ne voudrais pas arriver et que tu n’en puisses déjà plus ! Ah, j’oubliais, ouvre ta messagerie, un message t’y attend. À très vite, ma cochonne… Elle se déconnecte immédiatement. Intriguée, j’ouvre vite ma boîte Outlook et vois en effet un message de Maîtresse Claire, intitulé « Avec ceci, je te tiens ». Il n’y a aucun autre texte, juste une pièce jointe : IMG01 ; je l’ouvre et me découvre presque nue, la jupe retroussée, la culotte écartée avec un regard de vicieuse face à l’objectif… Je n’ai plus de choix : maintenant, je dois lui obéir, quoiqu’il m’en coûte. * Cela fait maintenant près d’une heure que je l’attends. Et si c’était juste une farce ? Dans un sens, cela m’arrangerait car je ne sais pas où j’ai mis les pieds. Avec tous les tarés qui traînent, je prends des risques ! Qu’est-ce qui me dit que cette femme veut juste jouer avec moi ? Ne va-t-elle pas venir avec une bande de racailles qui vont tout dévaster chez moi, voire pire, me violer ? Et ça, je n’en ai pas envie ! Je ne suis pas une adepte du gang-bang. D’un autre côté, je suis si excitée ! Je n’ai pas la permission de me caresser, mais je le sens, mon sexe est inondé. Je suis totalement attirée par ce qui m’est promis dans les heures à venir. Il est maintenant 23 h 50 et plus rien ne bouge dans mon quartier calme. J’entends soudain le bruit d’une voiture qui se gare, une porte qui claque… Je tremble ! Le carillon sonne ! Je suis face à mon destin. Il est sans doute ...