1. Amline , déboires et fantaisies


    Datte: 02/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... s’appelle Dina , dit Amline et enjambant le touriste. Elle s’allongea à son tour sur son bras droit et offrit un sandwich. Une heure plus tard , dans une tiédeur suave, l’un dans l’autre ,une langue autour de l’ autre ,ils s’aventuraient dans leur découverte simultanée. Sur le point de la déshabiller ,Simon quitta la bouche délicieuse de sa partenaire pour tenter d’ obtenir des explications à propos de son récent malheur dans l’intention de lui faire déballer ce qui était susceptible d’etre rester coincé dans l’attente inutile , prêt à etre refoulé , imaginant récolter l’orage un jour prochain, un de ces instants qu’ on ne souhaite pas , lorsque la personne aimée prise d’ incontenables arguments exécute l’ordre irrémédiable et sentencieux de punir le premier venu. Inutile d’ attendre le calme brisé d’un jour heureux ou de laisser germer une mauvaise graine dans l’esprit d’une bien-aimée, ceci ajouté au fait que Simon eut l’intuition pas encore vérifiable néanmoins , qu’ eux- deux mettaient le contact d’une navette stellaire dans l’univers profond de la passion amoureuse. Ne laisse pas passez l’occasion intelligente de faire le bien dés le début ! s’ alertait- il dans l’espoir d’une histoire sérieuse avec Amline. Oui ! Faisons le bien et décrassons le cœur d’ Amline de cette épreuve de souffrance ! Il dit : - Amline ? j’ai besoin de parler un peu, si tu ne veux pas dis le moi. Il remua sa propre langue dans sa bouche buvant la salive gouteuse de la jeune femme. - Oui d’accord ...
    ... , confirma-t-elle en guise d’approbation. - C’était qui au juste ce type ? Elle lui raconta sa petite aventure : kadar était un gars de la ville , qui se ramenait d’ un quartier mauvais de Clermont-Ferrand, dans un bar sympa du centre ville. Il présenta par hasard un facies séduisant qui sut l’attirait dans ses filets. Dans l’alcool et l’ ambiance festive elle mis ses critères plus détaillés au placard et ne vit que du feu . Sous la veste en cuir et une chevelure brillante se cachait la misère de sa personne qui se définissait comme telle par le fait qu’ il s’ autorisait des extras sur le dos de sa petite famille qui se rongeait les os pour apaiser la faim au lieu de persévérer à trouver un job. Il faisait le bandit un gros tiers temps pour financer les verres d’alcool de tous les soirs et dormir soul et bon à rien sous le nez de sa femme qui ne savait plus que l’enguirlander et soigner ses blessures. Sans l ‘ ombre d’’un mérite , depuis quelques années , endetté et violent, il avait mentit à Amline en prétendant bosser comme entraineur sportif. Le canular aurait tenu un dizaine de jours dans l’ œil crédule de Amline qui le recevait fatigué et défait , fuyant la ville et usurpant l’ honnêteté d’un femme amourachée à ne plus discerner la bonne de la mauvaise gueule. Vint la nuit de jeudi, après s’etre fait sautée comme une pauvre bourrique d’ idiote , d’ abrutie et aveugle cita -t- elle le moribond se leva prévenant d’aller boire de l’eau. Il fouilla des tiroirs dans le demi ...
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