Amline , déboires et fantaisies
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... redit-il , on voit les confins de la forêt ! -Oui j’adore , la nature brute et chez soi ! C’est une chance ! -Oui ! Comment as-tu trouvé cette maison ? J’ aimerais pourvoir avoir une occasion pareille un de ces jours ! -C’est la voisine qui, au décès de la vieille dame qui y vivait seule apprit la vente à ma Mère qui m’a informé ensuite. Je la loue, depuis que j’ai 25 ans. Pas trop chère, dans mes moyens. -Tu bosses ou déjà ? -Je te l’ai jamais dit ? Je suis assistante à la Comcom en temps partiel, un 25 heures . C’est pénard je suis en cdi , fonctionnaire de l’état , ça me plait beaucoup à vrai dire . J’aime mon boulot ! -Pas mal, tu as une bonne petite situation … et ta petite maison… on dirait un rêve ! -Oui , je te comprends. - C’est joli comme tout, -Merci. Elle ouvrit la porte du jardin et l’emmena sur le gazon qu’ elle avait tondu le week-end dernier lui appris-t-elle, avec son petit autotracté. Pres de 100 m plus loin un tas de gazon sec sous les arbres recouvrait des braches mortes. Le bois était plus dense et vierge. Simon reconnut des espèces typique , chênes , érables , charmes, des aulnes. Un beau pommiers joignait le toit de la construction , un petit cerisier derrière et en face de ces deux fruitiers un Douglas resplendissait cachant un Tamari qui débordait sur le jardin de la voisine , puis encore un saule , somptueux, pendait ses ramures aux premiers chênes . -Voila ton petit paradis remarqua opiniâtrement Simon. -Oui c’est le cas de le dire, j’ y connais pas ...
... grand-chose en jardin mais les arbres sont très beaux et bien placés . Le proprio fait venir un pro deux fois par an pour l’entretien. Un banc les réceptionnèrent . Elle posa sa tête contre l’ épaule de Simon. Ils contemplèrent la vie fragile de l’instant et du sous-bois. Simon enivré des senteurs boisées et féminines , crut que des anges atterrissaient dans les rayons lumineux. Dans son effarement il n’ osa saisir les hanches d’Amline qui dans son gros bourdon somnolait. Il la pris à bras le corps , geste plus masculin , plus protecteur , afin qu’ elle puisse s’y reposer , dans l’ élan qu‘ elle avait pris en se collant amitueusement à lui . Puis c’est elle qui le saisit de ses bras , infiltrant ses petites mains sous son gilet. De là elle put appuyer sa pauvre trogne contre son sauveur, comme le pensa -t -elle cyniquement , sur des bases de confiance , s’ assura t’elle ensuite pour prendre un recul nécessaire à de sages réflexions , dans le but d’établir un raisonnement droit et concret pour éviter les dérapages à répétitions. Cette heure romantique supplanta le drame précèdent et figea un monde irrésolu. Ma main froide d’ Amline fit frissonner Simon . Elle lui caressait les pectoraux aussi doucement que le vent balançait les feuilles des arbres. Son sexe se remplit très vite , comme une baudruche sous l’ effet d’un compresseur. Elle l’ aurai sentit comme viande chaude prête à etre servie mais démentit. Le garçon voulut cacher l’ excroissance mais tant pis , la femme nue ce ...