1. Une heure que je courais


    Datte: 03/05/2018, Catégories: fffh, hépilé, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme couche, uro, scato, attache, yeuxbandés, initiatiq,

    ... pas tout ça, mais cette récréation m’a pas mal excitée.— Et moi donc, me dis je.— J’ai ma culotte trempée, je suis une vraie fontaine. Ces confessions n’allaient rien arranger à mon état, mon esprit imaginait déjà la scène. — En même temps, personne ne peut me voir, je vais donc l’enlever. Bruit de jupe, elle me provoquait. — Tiens, constate, dit-elle en faisant glisser sa culotte trempée le long de mon sexe. Tu sais que nous avons un point commun…— Je suis aussi lisse que toi.— Ah j’oublie, tu ne vois rien. Elle s’approcha… — Qu’importe, tu ne peux pas voir, tu ne peux pas toucher, mais tu peux y goûter ! En moins de temps qu’il n’en faut pour que je réalise, elle m’enjamba, je la sentis là au-dessus de mon visage, le tissu de sa jupe frôla mon front, je devais être juste sous son sexe, j’avais envie de le lécher, qu’elle se baisse encore un peu. — Si tu te montres à la hauteur, je verrai ce que je peux faire pour toi. Et voilà mes lèvres directement sur un magnifique clitoris tendu, qui, je le confirme, n’avait pas besoin de lubrifiant. Je m’appliquai à bien faire les choses, elle, elle se déplaça m’offrant successivement l’accès à toute son intimité, elle se cambra même pour que ma langue atteigne sa rosette lisse dans un sillon trempé des sécrétions qui coulaient de son sexe par petits flots à chaque contraction des muscles vaginaux. C’est un plaisir en soi, mais la promesse faite de me retourner le compliment ne quittait pas mon esprit. Tout à coup, elle se redressa et ...
    ... effectua tout une série de manœuvre afin de se retourner, elle se remit sur ses genoux offrant à nouveau son sexe à la dextérité de mes lèvres et de ma langue, mais sous un nouvel angle. — Je crois que tu mérites ta part ! Mais ne t’arrête pas pour autant ! La découverte des délices de ses caresses directement sur la peau épilée, me dissuada d’avoir même rien que l’idée d’arrêter. Nous étions en train de nous tortiller de plaisir à l’unisson, j’en vins même à bénir cette situation qui pourtant n’avait rien d’enviable à ses débuts. Je sursautai, d’un coup la porte d’entrée venait de s’ouvrir et quelqu’un entrait dans la pièce. — Continue, c’est que ma copine. Elle était entrée dans la pièce et manifestement avait marqué un temps d’arrêt ! — Qu’est-ce que tu fous ?— T’inquiète, il est consentant.— T’es folle !— Tais-toi, t’as qu’à regarder, j’adore qu’on me regarde. Elle prit place, en bougeant une chaise, cherchait-elle le meilleur angle ? — Tu l’as…— Rasé, oui, lisse comme un nouveau né, j’adore ! J’ai repris mon activité, elle malgré sa conversation continuait entre chaque phrase, à me rendre la pareille. — Viens, je partage.— Non, j’oserais jamais…— Allez, enlève ta jupe et ta culotte et viens te faire plaisir.— Non, non. D’un seul bond, elle quitta le lit, avec une pointe d’humour, elle me dit « bouge pas je reviens », et j’entendis des bruits de poursuite, de bataille, on se serait cru dans un dortoir d’internat pendant une bataille de polochons, d’après mes oreilles elle ...
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