1. Curieux échange (1)


    Datte: 18/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... elle risquait de repartir dans le même état après ces trois années de mariage ! Puis un certain soir alors que nous discutions des malheurs de Luce, maladroitement j’ai avoué à mon épouse toute la compassion et les sentiments que j’éprouvais pour sa petite sœur. C’était une bêtise, je le reconnais. Mais qu’elle a été ma surprise de sa réaction : — Et tu croyais que je ne le savais pas ! Elle ajoute que c’étais évident à vous voir tous les deux et puis sa sœur lui a confirmé par des confidences… : — Tu vois, tu as même de la chance car les sentiments que tu m’avoues sont partagés… Elle complète par une chose qui me sidère en me demandant de ne pas être jaloux, moi aussi, car la relation qu’elle entretient avec sa sœur est plus intime que je ne le pense… Je savais déjà qu’elle n’avait pas d’exclusive pour le sexe, mais devant mon trouble elle a ajouté : — Rassures-toi mon chéri, ce n’est pas en concurrence avec les sentiments que j’ai pour toi… Tu es l’homme de ma vie ! Et elle m’a entrainé dans une suite de câlins tendres et passionnés, puis une nuit d’amour dont elle seule a le secret. J’en frissonne encore rien que d’en reparler… Aujourd’hui, c’est le dernier jour de la semaine, une semaine de travail particulièrement fatigante pour moi. Je rentre avec l’envie de passer ce weekend, tranquille, à récupérer avec ma femme et ma fille. Elles devraient déjà m’attendre à la maison, car ce soir, c’est Joce qui doit chercher le bébé à la crèche. Mais lorsque j’ouvre la porte, ...
    ... surprise ! Je suis accueilli par un bisou inhabituel, celui de Luce ; elle a ma fille dans les bras ; derrière, Joce me sourit. J’ai juste le temps d’embrasser tout ce monde pour que ma femme m’explique qu’elle l’a invitée pour le weekend car ça se passait trop mal dans son couple, qu’elle avait besoin de décompresser… Mais je ne tarde pas à découvrir deux grosses valises dans le salon… Les femmes affirment en cœur : - C’est provisoire ! Puis Luce m’avoue qu’elle a passé une partie de l’après midi à faire les démarches administratives pour entériner la séparation d’avec Gerald. Je suis triste pour les malheurs de cette fille ; triste et gêné des sentiments que j’éprouve pour elle. Joce m’a compris, elle vient vers moi me faire un câlin très langoureux : - Je t’aime, mon chéri… et je compte sur toi pour être gentil avec ma petite sœur ! Elle semble comprendre mes sentiments et mes appréhensions… Le souper se passe en toute simplicité. Comme j’ai l’air vraiment fatigué les femmes m’installent dans le salon devant un petit whisky avec un glaçon pendant qu’ensemble elles s’occupent de la gamine et de préparer le repas. J’entends leurs discussions émaillées des cris de la gosse. Elles papotent de chose et d’autre, du bébé ou des préparatifs du repas. Moi je me détends dans mon fauteuil en essayant de me faire le vide dans la tête et couper avec ma journée de travail ou des bouleversements que je pressens… Je sommeillais presque lorsque Luce viens me prendre la main et me tirer du ...
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