1. Curieux échange (1)


    Datte: 18/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... dans le ventre. Elle laisse échapper un cri de plaisir et de surprise. Puis je commence à la pistonner pour lui montrer que moi aussi je peux prendre l’initiative. Elle replie ses jambes sur mes fesses, s’accroche à mos dos et nous partons dans une sarabande déchainée ponctuées de nos râles de plus en plus sonores. Je sens mon sexe qui butte en elle, enserré de sa tendre chaleur. Cela dure un moment, puis brusquement elle part dans un hoquètement nerveux émaillé de cris et de reprises de souffle convulsifs. Passé un paroxysme elle se calme doucement relâchant son étreinte. Je crois que je me suis vidé en elle presque sans m’en rendre compte, tellement impressionné de toutes ces manifestations. Je la câline maintenant doucement pendant qu’elle récupère. Elle s’abandonne dans mes bras, prend ses aises, puis dans un dernier câlin, me susurre à l’oreille : - …Génial ! Je l’installe tendrement dans le creux de mon épaule. Une pensée fugace à l’intention de ma femme : comment s’en sort-elle avec son partenaire. Nous étions trop occupés pour les entendre ; c’est peut-être bien eux qui nous ont entendus… Après une nouvelle série de tendres câlins, complètement repus, nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Au matin, je suis réveillé par de petites caresses qui me sont plutôt familières. C’est Joce qui est là à côté du lit. Elle me pousse pour que je lui fasse une place, alors que Luce dort encore… Il fait déjà jour. Puis elle se ravise : — Va donc faire ...
    ... le café… me souffle-elle. Avec ce que vous vous êtes mis hier soir… Maintenant, c’est mon tour ! Un peu surpris, je lui laisse donc la place. Elle vient se glisser contre le corps de sa sœur qui se réveille doucement. Je pars donc vers la salle de bain, les ronflements de Gerald qui s’échappent du salon en disent long sur la situation. Je me passe un coup d’eau fraiche pour finir de me réveiller. Après le rasage je m’habille puis c’est la cuisine. Maintenant des gémissements de femmes sortant de la chambre indiquent que la séance de rattrapage à commencé ! La fratrie se donne du plaisir ! Le goût du café frais et du pain grillé décident les paresseux à sortir des limbes… ou des délices. C’est d’abords les femmes toutes sourire, se tenant par la main, nues sous leurs robes de chambre… On peut le deviner facilement car l’une comme l’autre, elles n’ont rien fait pour fermer le vêtement. Puis plus tard, c’est Gérald avec manifestement une bonne gueule de bois (physique et peut-être aussi morale !). Je ne commente pas les arrivées essayant de garder la neutralité diplomatique seyant à mon rôle d’hôte. Luce ne se satisfait pas de cette réserve et dans un grand éclat de rire félicite mon épouse pour la chance qu’elle a d’avoir un mari si extraordinaire. Je suis un peu gêné du compliment, surtout devant son mari… j’en deviens rouge quand Joce ajoute : — … On a entendu ! Gerald, la tête dans son bol ne relève pas, ce n’est pourtant pas son habitude. Et Luce, toujours tout sourire, ...
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