1. Curieux échange (1)


    Datte: 18/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sont pas si anodines que cela : Un peu comme une drogue, dès qu’on y a gouté on a envie de plus… Je ne suis pas le seul à avoir des états d’âme : Mes quelques coups de fil à mon beau frère m’ont montré son trouble. Pour le moins, il en a gardé de l’amertume, me demandant mon secret pour envouter ainsi toutes les femmes. Il en était même à me reprocher cette fameuse nuit comme un guet-apens, mais je l’ai stoppé net en lui rappelant que c’est lui qui a proposé cette expérience sans qu’on ne lui demande rien ! De plus, les réflexions de Joce, qui elle, a gardé le contact avec sa sœur, confirment qu’elle a pris de l’assurance dans son couple et tient maintenant la dragée haute à son mari. Ce que ce dernier supporte assez mal. Il fustige la mauvaise influence de cette grande sœur : une « vraie casse couilles ! ». C’est une expression qu’il semble adorer pour qualifier les femmes. C’est vrai, au départ, lorsqu’il a connue Luce, elle était assez inexpérimentée, très timide encore sous l’influence de parents très rigoristes qui estimaient qu’une fille devait aborder le mariage vierge. Elle n’avait pas suivi le chemin de sa grande sœur plus indépendante et dont les penchants saphiques affirmés lui ont fait quitter la maison très tôt et en révolte. Des parents qui essayaient de se consoler avec la benjamine en la couvant plus que nécessaire. En vieillissant et avec l’exemple de sa grande sœur elle avait eu tout de même quelques aventures, féminines et masculines, mais plutôt ...
    ... lamentables. De plus, elle s’en sentait, la fautive car hors de la « bonne » morale – C’était son péché et sa punition. Gerald en lui proposant le mariage la sortait de ce cycle infernal. Ce n’était pas un mariage d’amour mais un mariage de convenances. La beauté et l’inexpérience de Luce convenaient tout à fait au standing de son époux. Elle s’est prêtée au début à toutes ces extravagances sexuelles, croyant que c’était la norme, mais à l’usage, n’y trouvant pas réellement son compte, le mari restant très égocentré. Il ne pensait surtout qu’à son plaisir à lui, sans trop se soucier des envies et des besoins de sa femme… Pour Luce, plutôt brave fille, faire des gâteries, même un peu perverses à un mari, pourquoi pas ? Mais son corps se réveillait et en réclamait plus. Ses amitiés féminines, avec sa sœur en particulier, n’étaient pas étrangères à cette évolution. Mais cette dernière nuit avec moi avait donné le coup de grâce. Elle lui montrait une autre dimension du rapport physique avec un homme, pourtant en restant dans le classique. Pour conclusion, Joceline avait une expression qui tue pour qualifier ce fameux Gerald : « Une grande gueule avec une petite bite ! » J’étais triste pour mon beau frère, il fallait qu’il fasse quelque chose s’il voulait que son couple s’arrange. J’ai essayé de lui expliquer qu’il devait être plus à l’écoute de sa femme, lui proposant de discuter avec elle de ses désirs, de ses envies… Mais à sa décharge je sais que c’est très dur lorsque la crise s’est ...
«12...8910...19»