1. Chronique - Troisième partie


    Datte: 18/07/2017, Catégories: fh, amour, fsoumise, hdomine, fsodo, fouetfesse, couple,

    ... suis en train de me payer la bandaison de ma vie ! Un pieu raide comme c’est pas possible ! Un petit tour dans la salle et puis tiens, on dirait qu’elle veut sortir, ma sauvageonne, elle me tire vers la porte-fenêtre. Qu’à cela ne tienne, pas de problème, surtout que cela doit être tout aussi excitant à l’extérieur ; allez, un petit tour sur la terrasse, puis sur la pelouse. Nue comme elle est, elle doit apprécier, par cette chaleur. — Stop ! C’est elle qui a lancé le mot qui met fin au jeu. Désolée, chéri, on arrête, je n’en peux plus.— Il y a un problème ? Au lieu de se relever, je la vois qui se couche dans le gazon avec un large sourire ; donc apparemment s’il y a un problème, c’est pas trop grave… — Le problème, c’est que je ne peux plus continuer, tellement je suis excitée, j’en suis trempée ! Et puis quand je vois ton sexe raide comme il l’est, non ce n’est plus possible ! Prends-moi, chéri, prends-moi tout de suite, ici dans l’herbe, et vite ou je vais défaillir… Dis, mourir d’excitation, tu crois que c’est possible ? Même pas le temps de me dévêtir ! En tout cas, un grand moment, surtout que nous n’avions encore jamais fait l’amour dans le parc, dans notre parc ! Le débriefing se fait un peu plus tard, à l’apéritif ; rien à redire, pour elle comme pour moi, c’est tout bon ; même si nous n’avons pas été jusqu’au bout du scénario prévu, notamment la séance de léchage et l’utilisation du plug anal qui sont passés à la trappe, ce sera pour une prochaine fois. ...
    ... Simplement, il faut prévoir d’inverser les rôles et imaginer des scénarios un peu plus « tordus » et cela, je vais m’y atteler pas plus tard que demain. Ah si, quand même, un seul regret pour Stéphanie, qu’elle n’ait pas eu un seul mot à dire, dans son rôle d’animal un peu sauvage, et ça, j’avoue que pour une femme, avocate de surcroît, c’est assez frustrant… Un peu moins chaud, ces jours-ci, et c’est tant mieux ; et plus de nouvelles non plus d’Estelle, « notre » ministre, pourtant, on sait qu’elle existe, puisqu’on la voit sur toutes les chaînes de télé et qu’on l’entend sur toutes les radios, mais bon, c’est dommage ; je garde un si bon souvenir de notre rencontre assez exceptionnelle que j’aurais bien aimé la revoir, et pourquoi pas, jouer avec elle les prolongations à sa soirée d‘enfer… Stéphanie aussi, en ressent une certaine amertume, surtout que sa collaboration avec son amie retrouvée n’aura pas duré bien longtemps, elle qui s’en faisait une joie ! Mais c’est vrai qu’Estelle évolue dans un monde bien différent du nôtre, où il n‘y a pas de place pour nous, tant pis. C’est comme ça et il n’y a pas de regrets à avoir ! ****** Stéphanie me nargue ; demain, elle part plaider à Saint-Malo, autant dire sur la plage ! Défendre les intérêts de sa société dans une affaire de contrats immobiliers douteux ; et le moins qu’on puisse dire c’est que cela la met de bonne humeur. — Tu te rends compte, à la mer ! Avec la chaleur qu’il fait ! Je vais en profiter un max ! Surtout que je n’oublie ...
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