1. Le bouchon trop loin 3


    Datte: 03/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... beaucoup de circulation, c'est pas stressant. Peut-être un petit café à une terrasse et qui sait, une gonzesse. Non, pas de gonzesse. Neuf heure dix. - On est chez lui. Bel appart. Quand il a pris ma veste, il m'a passé une main dans le dos, l'air de rien et m'a emmenée au salon. Je suis sur le balcon, il prépare café et digestif. Il arrive ! Oui, tu peux finir le gâteau. Je vais rester chez Sylvie encore, on va regarder la télé. À tout à l'heure. Bisou ! Je retourne à la maison. Je tourne en rond, je me touche, je me mets à poil sur le canapé, je bande, je me retouche. Je vais remettre un pantalon, à force de me tripoter je vais gicler, il ne faut pas gicler, pas maintenant. C'est dur. Il faut que je trouve une occupation, tondre la pelouse, poser des étagères. Oui, c'est ça, l'étagère dans le garage, mettre une équerre au centre. Vingt minutes au moins. Dix heure moins dix. - C'est moi. Bon je vais rester encore une heure. Tu ne t'ennuies pas trop ? Mais arrête Sylvie, je… suis au… télé… phone… haagha ! Et ça coupe. L'autre salopard est en train de la tringler, je parie en levrette, la voix est saccadée par les coups de bassin du gars. Dans mon slip, du sperme est sorti tout seul, j'ai la queue qui bout. Il reste encore au moins une heure à attendre, que ça va être difficile. Je fais deux fois le tour du pâté de maisons, c'est le concert des chiens derrière leur clôture. Allez ! Un tour de plus pour emmerder les propriétaires des aboyeurs. Vingt-trois heures passé. La ...
    ... voilà enfin ! Je la fais asseoir, lui apporte ce qu'elle veut boire, me mets à poil et m'assieds. Elle est là devant moi avec le sperme d'un autre homme dans la chatte, je bande comme un âne. - Alors, comment ça c'est passé ? Raconte-moi tout. - Voilà. On était à la terrasse d'un café. Quand Sylvie est partie, je suis restée pour finir le chocolat que j'avais commandé. Jean, donc, est sorti du café et m'a vue, je le regardais aussi comme on regarde tout le monde dans la rue. Il est revenu à la terrasse et m'a demandé la permission de s'asseoir à ma table. Il était pas mal, l'air correct, j'ai accepté. Et aussi parce que tu me tannais au sujet de tes lubies. Je te fais pas le détail de la discussion, il fait beau pour la saison, ce que je faisais, si je venais souvent, mes beaux yeux et tout le toutim. Je n'arrête pas de me tripoter, j'ai la bite sous tension maximum, ça peut partir inopinément mais Anne vient en quelque sorte à mon secours. - Arrête de te toucher. Je vais chercher de la ficelle et t'attacher les mains dans le dos. La chose faite, je lui dis de me toucher mais doucement, je lui dirai s'il faut arrêter. Je relance. - On reprend ! Le resto, la culotte, tu arrives chez lui. - On entre, il prend ma veste et me guide vers le salon en posant sa main dans le dos, en haut de ma hanche. Arrivé dans le salon, il me retourne et me roule un patin, je me laisse faire, toute molle. À ce moment j'ai pensé à toi, tout content et trépignant. Elle est entre mes cuisses, accroupie, ...
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