1. Le secret de charlotte (4)


    Datte: 04/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... des salopes affamées de bites. Elle est en transe. Ses yeux me disent qu’elle me veut. C’est comme si elle avait besoin d’éjaculer autant que moi. Je m’astique comme un malade. Je n’ai plus à me retenir, c’est bientôt fini. Putain, ce que j’ai besoin de cette délivrance ! — À moi ! À moi ! geint Charlotte. Du sperme ! Mon sperme ! Je le veux ! Je le veux ! — Raaah, petite pute. Tu veux ta récompense, hein ? — Oui ! Oui ! J’ai été sage ! Maitre ! Pitié ! Nourrissez-moi ! J’ai soif de votre semence ! — Oh ça ! Tu vas l’avoir ! Franchement, le spectacle de la femme que vous aimez se comporter comme ça, ça fait craquer le plus endurant des hommes. — Ça y est ! Je viens ! Allez, prends ta récompense ! Salope ! Je sens le sperme grimper le long de ma tige, puis exploser enfin. Je lui éclabousse sa jolie petite figure avec une première grosse giclée. Cela lui atterrit sur le front et le nez. Elle remue pour chercher à avoir les suivantes directement en bouche, je fais tout pour l’éviter. Je veux la salir, la souiller. J’éjacule avec force en beuglant comme un mâle. Je ne suis plus qu’à moitié conscient tant le plaisir est intense. Je lui envoie le reste de mon jus sur les joues et les seins. Je suis presque déçu moi-même quand mes couilles sont vides et que je n’ai plus rien à tirer. Elle plonge en avant pour me sucer et me rincer. Je me souviens que nos amis sont toujours dans la pièce que quand je les entends nous applaudir pour nous remercier le spectacle. Charlotte rougit de ...
    ... honte. Elle se colle contre mes jambes comme un animal de compagnie effrayé. Je l’admire, couverte de sperme qui dégouline sur tout son corps. C’est comme ça que je l’aime. Elle demande un mouchoir ou quelque chose d’autre pour se nettoyer, je le lui refuse en l’obligeant à rester à poil. Pire, je vais chercher son collier et sa laisse dans mon sac à dos pour les lui mettre. Je lui ordonne d’être ma chienne pour le reste de la soirée. Je me rhabille et me réinstalle dans mon fauteuil. Charlotte se tient juste à côté, à quatre pattes, le plug toujours fiché dans son cul. Nos amis, curieux, nous posent plein de questions. Comment c’est arrivé ? Depuis combien de temps ? Est-ce qu’on est toujours comme ça entre nous ? Je leur dis tout, sans tabou. Ils n’en croient pas leurs oreilles. Je tire parfois sur la laisse pour affirmer mon autorité sur Charlotte. Quand il est temps de partir, j’autorise ma chérie à s’habiller décemment. À peine arrivé à la maison, j’ai encore envie d’elle. J’arrache sa jupe et l’encule furieusement. Je me vide en elle après l’avoir faite jouir, puis lui remets le plug avec mon sperme encore à l’intérieur. Je veux que demain, quand je le lui retirerai, j’ai la preuve qu’elle l’a gardé tout ce temps. Avant de nous endormir, je redescends sur terre et redeviens un homme. Cela me donne soudain une crise de conscience. J’y suis peut-être allé un peu fort. Elle n’a plus rien dit depuis que je l’ai baisée devant nos amis. Je m’inquiète : — Charlotte, ça va ? ...