1. Le secret de charlotte (4)


    Datte: 04/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... aimera toujours ça. Je veux que les autres le sachent, qu’ils en soient jaloux car ils ne connaitront jamais ça. Quand ils resteront célibataires, ou seront avec leurs copines coincées du cul, moi, j’abuserais de ma Charlotte pour me vider les couilles où et quand je veux. Du moins je l’espère. Je l’humilie devant tout le monde. Quelle sera sa réaction lorsque nous rentrerons chez nous ? Je ne fais pas ça pour la dégrader, je le fais pour qu’on sache à quel point elle est fantastique et qu’elle est à moi. Deux de mes potes ont sorti leur téléphone pour prendre des photos et filmer la scène. Même Maria finit par sortir le sien. — C’est ça, filmer tous, les mecs. Vous m’enverrez une copie, on la regardera tous les deux. Hein ma salope ? Elle ne répond pas, elle se remet toujours de son dernier orgasme. Ce n’est pas que je me lasse, mais mes forces commencent à m’abandonner à la porter ainsi. Je la repose par terre, prend une manette de la console, et utilise le fils pour lui lier les mains derrière le dos. Je la mets à genoux pour lui baiser la bouche un moment. Sa gorge chaude est vraiment délicieuse. Elle est mon esclave. Elle ouvre grand pour essayer de m’avaler tout entier. Je m’installe dans un siège, et lui demande : — Tu veux encore ma bite ? — Oh oui ! Oh oui ! — Alors grimpe-moi dessus et viens la chercher. Elle se remet debout tant bien que mal et me monte dessus sur le fauteuil. Elle remue du bassin pour essayer de s’empaler sur ma verge dressée, mais elle a ...
    ... quelques difficultés. — Allez, aide-moi ! Putain, je la veux ! — Désolé, mais si tu la veux, il faut que tu te l’enfonces toute seule comme une grande. — Allez ! Allez ! geint-elle tandis qu’elle n’y arrive toujours pas. Elle pousse un long soupir de soulagement lorsqu’elle se pénètre enfin la chatte avec mon gros bout. Elle me rebondit dessus avec la force du désespoir. Ce que c’est beau de la voir dans un tel état malgré qu’elle ait déjà joui plusieurs fois. Je ne l’aide pas. Je lui caresse tendrement les jambes tandis qu’elle fait du va-et-vient en pleurant de joie. Les mains toujours liées dans le dos, elle essaie de se tenir droit pour ne pas tomber sur moi. — C’est ça ma chérie, montre à tout le monde combien tu aimes ma bite. — Oh oui, je l’aime ! Je l’aime ! Il me la faut absolument au fond de mon vagin. Je lui donne une fessée pour l’encourager. Ses yeux sont à demi-clos à force d’être perdue dans son plaisir. Elle a besoin de me sentir en elle, de se faire du bien. Ça la rend encore plus belle et désirable. Elle est à bout de force. Elle s’écroule sur moi, mais continue à remuer les hanches tant elle me veut. C’est une véritable chienne en chaleur en manque de queues. — Putain, les mecs, matez-moi ça, commente Mike. Les rues seraient pavées de bites qu’elle marcherait sur le cul. — Aaah ! Mais c’est tellement bon ! se justifie-t-elle. Vous ne pouvez pas compreeeeeendre ! — Moi, je te comprends, Charlotte, la soutient Maria. Elle s’est carrément enfoncée des doigts dans le ...
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