1. Tabatha... L'esclavagiste (6)


    Datte: 04/05/2018, Catégories: Erotique,

    -- Les jeux sont faits -- Tabatha ressortit de l’abri de toile, surprise d’entendre des cris et des rires qui provenaient des abords de l’arène. A sa question, Farla avoua de pas en savoir plus qu’elle et elles marchèrent vers le lieu où les épreuves de Tabatha allaient reprendre. Un étroit couloir, lui aussi délimité par des piquets de bois avait été aménagé à chaque extrémité de l’arène pour que les combattants puissent y accéder sans avoir à traverser les curieux qui s’amassaient autour du carré de terre où se déroulaient les joutes. Les deux femmes l’empruntèrent, se demandant ce qui se passait derrière le rempart des spectateurs. Les cris et les exclamations des spectateurs dominaient mais elles entendaient d’autres bruits venant de plus loin, et Farla prit le bras de sa compagne quand des cris de douleur retentirent. Une femme hurlait… En débouchant face à l’arène, elles furent confrontées à un spectacle qui les fit blêmir. Le temps de pause avait été bien orchestré pour que les spectateurs ne s’ennuient pas. Ce Lugos était le pire des hommes. Ils sont pires que des bêtes ! J’aimerais que tous ces porcs crèvent ! Tous sans exception ! Tabatha sentit son amie se coller tout contre elle mais Farla ne dit mot. Presque sous leurs yeux, deux gardes debout, tenaient par les lanières nouées à ses poignets une esclave agenouillée, qu’un troisième homme flagellait avec un fouet constitué de plusieurs lanières de cuir. La malheureuse hurlait sous chaque coup, son corps se ...
    ... convulsant sous les morsures du cuir. Entre chaque coup de fouet, elle pleurait et sanglotait quand ses tortionnaires qui la tenaient se penchaient pour frapper et pincer durement ses seins de leurs ignobles pattes et violer son sexe de leurs doigts. Puis le fouet s’abattait encore… Quelques pas plus loin, deux autres gardes soutenaient une esclave en position horizontale en la tenant par les épaules et les bras tandis qu’un autre, ses avant-bras passés sous les cuisses de la femme pour la retenir, la besognait brutalement. La brute poussa soudain un grognement de plaisir bestial et un instant plus tard, lâcha les jambes de sa proie. Il remplaça celui qui se tenait à la gauche de l’esclave et l’autre dénoua la ceinture de ses braies avant de se baisser pour empoigner les jambes sans forces de la femme et les relever. A son tour il la pénétra d’un coup de rein puissant et commença à aller et venir en elle. Sur leur gauche, une troisième esclave, mains liées au dos, elle aussi à genoux donnait du plaisir de sa bouche à trois gardes debout. Chacun leur tour, ils empoignaient les longs cheveux roux de l’esclave pour qu’elle suce leurs membres dressés. Derrière elle, un autre garde la fessait avec ce qui semblait être un long et mince bout de cordage. Parfois un homme la giflait et Tabatha comprit que les gifles punissaient la pauvre fille quand elle ne réussissait pas à retenir un cri de douleur. Dans le coin le plus éloigné, une autre esclave servait au plaisir de ses gardiens. Tabatha ...
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