1. Vu sur le net


    Datte: 04/05/2018, Catégories: Gay

    ... boutoir que je recevaient avaient achevé de me faire perdre toute notion des réalités, je me tordais sous mon mec comme un damné.Je ne savais pas depuis combien de temps Max me baisait mais ce que je voulais c'est qu'il continue à me faire tant de bien le plus longtemps possible.Dans la pièce, en dehors de mes halètements, on entendait les bruits de succion que faisait mon cul chaque fois qu'il avalait le sexe turgescent qui me forait les reins m'élargissant le fondement un peu plus à chaque poussée.Mon amant avait lâché mes jambes et posé ses mains au-dessus de ma tête de telle sorte que mon derrière se relève et il me sodomisait en larges coups de reins.Totalement abandonné je nouai mes jambes autour des reins de mon homme et passai mes mains autour de ses épaules musclées.Mon mec m'enfilait avec des 'HAN' de bûcheron, de la sueur perlait de son front et les grimaces qu'il faisait prouvaient le plaisir qu'il prenait aussi.Jamais je n'aurais cru qu'on puisse prendre autant de plaisir, je sentais des vagues de chaleur m'envahir et mes râles se muèrent en cris de volupté.Chaque fois que Max s'enfonçait au plus profond de mes entrailles il disait 'Tiens salope, prends ça dans ton cul, ah tu aimes mabite ma pute, alors prends la au fond de ton trou du culbouillant'.Ses paroles m'excitaient encore plus, j'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de boutoirs répétés que je recevais.Dans mon corps enfiévré de bonheur seul comptait mon cul, je ...
    ... ressentais de telles sensations que je ne réfléchissais plus que par mon trou de balles démoli.Le rythme auquel mon amant me possédait faisait que je me sentais comme un fétu de paille balayé par la puissance de ce que je ressentais, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.C'est à cet instant que mon homme s'enfonçant au plus profond de moi éjacula en râlant, ses abondants jets de sperme crémeux fusant contre mes parois surchauffées me provoquèrent un spasme foudroyant, mes jambes battirent l'air, mon corps s'arqua sous mon mec, je plantais mes ongles dans la chair de ses épaules, un hurlement strident pulsa de ma gorges et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.Je sentis mon mec se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur sur ma corolle ravagée.Quand je rouvris les yeux Max n'étais plus dans la pièce, j'entendais l'eau couler, il était en train de se laver.Quand il sortit de sous la douche il s'essuya tout le corps et me dit 'Tu vois que tu as aimé.- Oh oui ça a été génial, jamais je n'aurais cru prendre un telplaisir par le cul.- Tu sais moi non plus jamais je n'aurais cru qu'un mec puissejouir comme tu viens de le faire.- C'est vrai.- Je t'assure, tu n'es pas le premier que je baise mais tu es lepremier qui a les mêmes réactions qu'une gonzesse, tu baisescomme une vraie femme.- Non !!- Si tu es une vraie salope, tu es faite ...