1. Les aventures sexuelles d'Aliénor - Marie, le grand amour 3/3


    Datte: 04/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... de Montbazac. C’est elle qui avait fait construire le château. Aliénor de Montbazac avait eût trois fils : Audran, les jumeaux Richard et Philippe, Aliénor descendait de l’un des jumeaux. Car ils se partageaient la même femme et personnes n’avait jamais sût qui était le père des enfants. Marie était captivée par le récit d’Aliénor, impressionnée par la connaissance qu’elle avait de l’histoire du château et de sa famille. Une histoire que le dernier domestique de son grand-père lui avait raconté quand elle était enfant et pour laquelle elle s’était passionnée. C’est d’ailleurs cette histoire qui l’avait fait se passionner pour la matière historique et se passionner pour son aïeule la grande Aliénor d’Aquitaine, dont elle connaissait l’histoire sur le bout des ongles. Elles retrouvaient les Montbazac dans la cours où ils avaient installés une grande table avec une carafe de citronnade. La conversation s’engageait rapidement entre Marie et les Montbazac. Ils furent surpris de voir à quel point Marie ressemblait à la description qu’en avait fait Aliénor, douceur, intelligence, gentillesse, discrétion, timidité aussi. Bien que timide elle se laissait apprivoisée par cette famille simple qui semblait déjà l’apprécier. Elle remarquait aussi l’intérêt que semblait lui porter Henri, tout comme Aliénor qui balançait discrètement un coup de pied à son frère l’air de dire « Pas touche ». Ça ne surprenait pas Marie, Aliénor était extrêmement jalouse, bien qu’elle n’ait rien à craindre ...
    ... Marie était la fidélité incarnée. La suite de la conversation tourne autour de l’entretien du château, des derniers livres lus par Christine prof de philo, des clients d’Hugues avocat, du lycée pour Henri et Bérénice, de la moto d’Aliénor qui avait été à son père et qu’il lui avait laissé en cadeau pour son permis moto. Hugues estimait cependant que descendre à moto depuis Paris relevait de l’inconscience, « Pourquoi tu n’a pas pris ma vieille Supercinq je l’ai pas laisser à Paris pour des prunes. Si jamais tu veux pas la conduire pour X raisons je la reprends et c’est Henri qui la récupère dès qu’il à son permis. Et si tu veux je te laisse la C5. Elle roule bien, mais je peux plus rouler avec. Imaginez un avocat qui roule dans une vieille bagnole, ca attire pas les clients. Et puis la moto c’est sympas, mais compliqué pour partir en vacances ». L’ambiance était bonne enfant. Rapidement Marie s’est sentie bien avec les Montbazac, bien dans cette région au caractère de braise. Les jours qui ont suivis Aliénor faisait découvrir Montbazac et sa région à sa compagne. Si Marie trouvait la région très belle et accueillante elle restait profondément attachée à sa Bretagne natale. Les aquitains étaient chaleureux, sauf quand ils les voyaient main dans la main. Eh oui on était à la campagne, on était pas à Paris ou dans une grande ville, l’homosexualité choquait encore. Malgré tout Marie s’attachait à l’ancien duché de la grande Aliénor dont sa compagne lui contait l’histoire qu’elle ...
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