1. Blandine et les loups (5)


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Trash,

    ... soupira, puis ouvrit de grands yeux en voyant son père approcher en ouvrant son pantalon. — Papa, non ! — Et pourquoi donc, ma puce ? — Mais... Tu es mon père ! — Et je n’aurais pas le droit de vider mes couilles ? Depuis que ta maman n’est plus, jamais je n’ai tiré un coup. Tu ne me refuserais pas un moment de jouissance, non ? — Mais... Bon, d’accord. Résignée, elle ouvrit la bouche pour recevoir la verge paternelle, pas encore bandée, mais qui prit rapidement de l’amplitude au point d’écarteler ses mâchoires douloureusement. Elle gémit et enserra la bite épaisse à deux mains, en faisant à peine le tour. Gille était en effet pourvu d’une vraie matraque de chair, pas très longue mais d’une épaisseur hors norme. Il laissa sa fille lécher et pomper un long moment, puis il vit qu’elle fatiguait. gotghhwl — Les mains, ça suffit maintenant. Croise-les dans ton dos, je ne veux plus les voir. Je vais baiser ta bouche de salope. Depuis le temps que j’en rêve... Il saisit la nuque de Blandine à deux mains et entama une série de va-et-vient lents et de plus en plus profonds, son gland mafflu repoussant la luette et provoquant des haut-le-cœur irrépressibles chez la jeune fille. Pourtant elle ne chercha pas à s’échapper, tentant au contraire de maîtriser la nausée qui la faisait saliver. La bite gonflée à bloc était couverte de bave pendant en longs filaments et coulant sur la poitrine menue. Les yeux injectés de sang et noyés de larmes, Blandine poussait des cris de gorge à chaque ...
    ... coup de reins. Puis le père sentit la délivrance approcher, il s’enfonça plus loin qu’il ne l’avait encore fait, écrasant les lèvres de sa fille sur son pubis, et il jouit directement dans la gorge offerte. Blandine ne put que déglutir péniblement pour recevoir la semence paternelle, elle crut qu’il n’en finirait jamais de se vider, les rasades succédant aux rasades. Puis le flux se tarit, et il libéra sa fille qui aspira goulument l’oxygène qui lui manquait. Pliée en avant, les mains posées sur le sol crasseux, elle toussa et cracha, reprenant peu-à-peu son souffle. — Blandine, regarde-moi. Regarde ton père, redresse-toi... Elle obéit dès qu’elle eut récupéré suffisamment ; dès qu’elle fut droite, elle comprit : son père tenait sa verge à moitié débandée dans sa main gauche et attendait pour uriner. — Papa, s’il te plaît... — Ouvre la bouche, montre que tu es une salope. Tu es une salope, ma fille ? — Oui, je commence à croire que oui... Secouant la tête, Gilles remit sa verge dans son caleçon et referma sa braguette, considérant sa fille avec un mélange de stupéfaction et de dégoût. Il ne la reconnaissait pas dans cette femelle sans pudeur et sans vergogne qui acceptait de subir les perversions les plus abjectes. — Tu étais prête à boire ma pisse ? — Prête, non. Et ça ne me fait pas envie non plus. Mais je me serais forcée, fidèle à l’image de salope que vous m’avez donnée. Je ne comprends d’ailleurs pas comment tu pouvais avoir envie d’uriner sur moi, quel plaisir tu pensais ...