1. Mon apprentissage-7


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... des petits seins. Elle m embrassa en me disant à demain car il était prévu qu’elle vienne avec nous. Nous reprîmes la route. Jacques était soulagé que cela se soit passé ainsi. Il me montra l’enveloppe que lui avait remis Mary qui contenait une jolie somme qu’il partagea avec moi. Le lendemain vers 19h00 je me présentais à l’appartement. Margaret vint m’ouvrir. Toutes les deux étaient superbes. Mary avait une robe fourreau très décolletée qui mettait ses formes plantureuses en valeur. Margaret portait une robe longue noire, très échancrée sur le côté qui laissait parfois entrevoir le haut d’un bas. Un magnifique boléro brodé complétait sa tenue. Nous nous embrassâmes comme de vieux amis. Une Mercedes avec chauffeur nous attendait dehors. J’étais assis entre les deux femmes qui avaient posé une main sur mes jambes. Mary me caressait doucement la cuisse. On arriva dans une belle propriété toute illuminée. La vue sur le port était magnifique. Nous étions une cinquantaine de personnes plutôt d’âge mur. Trois couples de jeunes étaient présents. Deux femmes d’une cinquantaine d’années étaient accompagnées de jeunes de mon âge. Nos hôtes étaient un couple d’allemands vivants la moitié de l’année à Monaco. Lui très bel homme distinguée, elle très grande, plantureuse, blonde et très belle. Il formait un très joli couple. Une grande complicité les liait visiblement à Mary. En se promenant les deux femmes se tenaient par la taille. Je les observais en tenant compagnie à Margaret qui ...
    ... me fît des confidences. Elle était mariée et voyait très peu son mari qui voyageait autour du monde pour ses affaires. Elle ne voulait pas divorcer car ils avaient beaucoup d’affaires en communs. Mary et elle ne se cachaient rien. Elle lui avait raconté notre séance avec Jacques et elle avait apprécié notre prestation. Elle aussi faisait appel à des jeunes gens vigoureux qui disait-elle, en plus d’être beaux, la comblait. Cela lui évitait de prendre un amant qui était disait-elle source de complication. Jacques était un de ses favoris. Elle l’avait présenté à Mary qui le faisait venir quand elle séjournait à Monaco, trop rarement pour elle à Margaret. Nous nous étions un peu éloignés de la foule. Nous nous assîmes sur un banc face à la mer. Elle m’avait pris la main et l’avait placé sur sa cuisse, là où l’échancrure de sa robe permettait d’apercevoir le haut de ses bas. Guidant ma main elle la plaça plus haut. Ses cuisses étaient légèrement ouvertes. Elle ne portait pas de culotte et son sexe était directement accessible. Elle se leva pour me faciliter la tâche. Les invités ne pouvaient pas voir ce que faisait ma main. Mes doigts la pénétrèrent, caressèrent son clitoris. Elle était trempée. Me servant de sa mouille, j’explorais aussi son cul qui s’ouvrit facilement. Encore une adepte de la sodomie! Revenant à son sexe je la masturbais. Ses lèvres étaient pincées et elle haletait. Au moment de jouir elle serra fortement ses cuisses sur ma main. Elle s’assit pour récupérer, me ...
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