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Grand-père
Datte: 05/05/2018, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou
... Elle le rembarrait effrontément. Il en était accro ne pouvant se résoudre à licencier la gueuse et la menteuse. Il était la risée de tous. Notre mère n’avait de cesse de le convaincre de se reprendre. De faire montre d'un autre courage. Il regardait les mâles de la maison et du voisinage comme des potentiels rivaux. Plus d’une fois furent évité la rixe et le coup de poing. La garce avait débauché beaucoup de monde. Je ne fus pas peu étonné cependant que mon grand-père lui-même y mit sa marque.Je le sus d'autant que je fus dans la confidence et quelque part témoin de la chose. En effet je vins un soir à me répandre sur ma belle sœur qui partout semait le désordre et la zizanie. Le papy m'expliqua que c'était l'archétype de la femme facile. N'importe quel gars pouvait en disposer. Je lui fis remarquer par malice qu'avec ses soixante-cinq balais, il serait sûrement éconduit. Il me dit que j'étais un sot et un puceau. Que je méconnaissais ce genre de garce. Bref nous chauffant l'un l'autre cela lui parut comme un défi. Nous en vînmes à parier. Il ne se proposait pas moins de la sauter.Le papy était un vicieux. Il insista pour que je me cache en un coin pour vérifier son exploit. Il allait la recevoir dans son salon. Il m'assurait à tout le moins que j’assisterais au début. Bien que je fus passablement excité, je protestai en un premier temps. J'incitais mon grand-père à devoir y renoncer. J'étais prêt en effet à le croire sur parole. Puis voyant sa résolution je trouvais ...
... inconvenant le rôle de voyeur. Bref nous disputâmes longtemps. Je cédais à la fin de guerre lasse. La scène se passa un soir. Papy m'avait ménagé une place confortable au creux de l'armoire.Je voyais suffisamment de ce salon. Notamment le canapé où la miss allait s'asseoir et de dos le fauteuil où le grand-père ferait de même. Moi-même étais-je assis sur un tabouret pour ne pas souffrir de fourmis dans les jambes. Le son de la télé était fort afin de couvrir éventuellement les bruits que je générerais. L'embêtant est que je ne pus saisir le principal de la conversation. Les gestes du moins étaient éloquents. Ceux de madame du moins car l'oncle je le répète était caché par son fauteuil. L'un, l'autre s'envoyait allègrement du Whisky. Cela préludait au pire.Elle était plus maquillée que nature. Elle semblait ridicule telle une poupée tragique. Elle se perdait en mimiques n'ayant d'autres objets que de subjuguer le mâle en face d'elle. J'eus l'impression ce jour-là qui lui importait peu de savoir la qualité de son vis-à-vis. Seul comptait qu'il fut du sexe opposé avec une bite entre les cuisses bien en état de fonctionner. Mon papy avait vu juste. Le mot de pute n'était assez fort pour la qualifier. A présent elle avait renoncé à balancer l'escarpin au bout du pied. Elle avait retiré celui-ci. Elle s'était indécemment couchée mi-nue sur le canapé.Elle riait à gorge déployée. L'alcool manifestement la ravageait. D'une main fébrile elle avait accentué l'échancrure du chemisier. Elle ...