1. Liaisons dangereuses (37)


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Hétéro

    J’aborde les jours qui suivent avec un tout autre état d’esprit, mon souhait de me contenter d’un célibat fait d’abstinence a volé en éclat sous les coups de butoir – ou plutôt de poitrine devrais-je dire – de Shama. Je me remets de nouveau à avoir mon regard irrésistiblement attiré par toutes les formes féminines que je peux croiser, que ce soit dans la rue ou au boulot, me surprenant à mater des collègues auxquelles je n’avais jusqu’à présent pas prêté attention, même à l’époque où je baisais à tire-larigot. Je me suis en quelque sorte retrouvé et je me remets à envisager Jenny sous un tout autre angle que celui auquel je m’étais habitué jusqu’à présent. Je détaille de nouveau ses courbes en me souvenant de l’époque pas si lointaine que ça où je la sautais si souvent et je gratifie mes sous-vêtements d’érections particulièrement violentes et régulières. Cependant, je n’arrive toujours pas à me décider à lui parler plus personnellement, pourtant, c’est pas les occasions qui manquent, mais je bloque. J’ai envie d’elle mais impossible de dépasser le stade de mes pensées. Au lieu de ça, c’est Shama qui s’occupe de me faire rattraper le temps perdu, à son plus grand bonheur, et au mien, bien entendu. Cette semaine où elle est seule tombe à point nommé et nous sommes tellement excités tous les deux que nous faisons carburer notre imagination à plein tube pour trouver des moyens de s’amuser à n’importe quel moment. Un jour où je suis dans mon bureau, je reçois un SMS de Shama. ...
    ... [SMS] > Ton vide couille personnel t’attend avec impatience ! Je souris et immédiatement, mon imagination se met en branle alors qu’une érection commence à prendre forme. Je supprime le message histoire d’éviter les accidents et je sors de mon bureau pour me diriger le plus calmement du monde vers les toilettes des hommes. J’y rentre en veillant bien à ce que personne ne me suive ou n’y soit déjà, puis je me dirige vers le cabinet le plus éloigné de l’entrée car c’est là que Shama et moi avons l’habitude de nous retrouver le plus souvent. J’ouvre la porte et y trouve ma belle Indienne qui patiente, assise sur la cuvette, et qui me lance un sourire accompagné d’un regard lubrique. Je rentre et verrouille la porte alors qu’elle est en train de baisser ma braguette pour en sortir ma queue déjà à moitié formée. — Alors, t’as fait des réserves depuis hier ? Me demande-t-elle avant de me gober la bite ; — Autant que j’ai pu, mais à me faire cracher deux fois par jour, faut pas t’attendre à te recevoir un cubitainer de sperme ! — Hmmm, hmmm, peu importe, c’est toujours bon à prendre !! Ma queue devient bien vite raide comme du bois et je déboutonne complètement mon pantalon pour le laisser tomber à mes pieds. Shama me suce avec une belle ardeur, de délicieux bruits de succion accompagnés de gémissements de contentement résonnent dans les toilettes. Mon sexe est très vite enduit d’une bave bien visqueuse dont des filaments relient mon gland aux lèvres de Shama lorsqu’elle en sort ma ...
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