1. Choc de générations


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... Personnellement, j'adore être pris par derrière car dans ces positions, que certains trouvent dégradantes, j'ai vraiment le sentiment de me donner et de m'abandonner à l'autre. Guillaume y est entré tout seul, comme un grand, mais dans le feu de l'action il a oublié de mettre une capote. J'aurais été bien avisé de réagir immédiatement et de lui demander de se couvrir, mais je le sentais tellement bien en moi, nous étions tellement proches l'un de l'autre, chair contre chair, qu'après une seconde d'hésitation je fis semblant de ne m'apercevoir de rien. Après tout, Guillaume ne risquait rien. J'étais à jour de mes tests sanguins, bien que traversant présentement un désert sentimental et sexuel. Le dernier test datait de six mois et était négatif, et je n'avais eu depuis aucun rapport, pas même avec ma femme! Quand à moi-même, qu'avais-je encore à perdre? Ce ne serait pas la première fois que je prendrais un risque, risque somme-toute minime vu le caractère rangé et peu aventureux du garçon. Le dénouement fut somptueux, aussi bien pour Guillaume que pour moi. Pour moi, c'était ma première enculade sans capote, "bareback" comme disent les spécialistes, et cette seule idée me chauffait à blanc. J'anticipais en esprit la giclée chaude qui n'allait pas manquer de m'innonder le rectum au terme de cette délicieuse chevauchée, et j'espérais ne pas avoir trop vidé mon petit camarade au cours de la nuit; que celui-ci avait encore des réserves à m'offrir dans ces circonstances ...
    ... exceptionnelles. Maintenant à genoux, je tendais mes mains derrière moi pour saisir les hanches de Guillaume et les plaquer contre mes fesses à chaque coup de boutoir. Ou bien je passais une main entre mes cuisses pour attraper les adorables couilles qui s'y balançaient tandis que je me branlais de l'autre main. Ou bien encore je me tordais le torse en arrière pour trouver les lèvres de mon amant et y plonger ma langue. Sous le coup du plaisir, je n'arrétais pas de jurer et de crier des obscénités pour que ça aille plus vite, pour que ça rentre plus profond, toujours plus profond. Tout ça fait que j'ai commencé à ressentir les contractions annonciatrices de l'orgasme et arrosai le dessus de lit de ma seconde éjaculation de la nuit, à peine deux minutes avant que mon élève se mette à gémir et souffler et se libère en moi de tout ce qui lui restait en magasin. Et il en restait, croyez-moi, car après avoir dormi plus de deux heures pour récupérer de cet éreintante mais néanmoins sublime expérience, je sentais encore du sperme s'écouler de la raie de mes fesses et dégouliner le long de mes couilles. "Désolé..." avait dit Guillaume tout penaud en voyant sa semence ressortir par à-coups de mon cul béant, "je crois bien que je t'ai joui dedans". Nous voilà revenus au début de ce récit. Pendant que mon jeune ami dort encore d'un sommeil paisible, je contemple avec amour le beau corps abandonné. Les larmes au bord des yeux, je regarde le jeune sexe redevenu flascide, reposant sur les testicules ...
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