1. Jeux intimes entre amis (1)


    Datte: 05/05/2018, Catégories: Lesbienne

    Que j’aimais la montagne. Ce mélange d’air frais et de nature, mêlé à une blancheur parfaite, me donnait une joie de vivre incommensurable. Je regardais, au loin, ce paysage semblant s’étendre à l’infini. Impossible de le nier, ces vacances de février commençaient merveilleusement bien. Mes cheveux, longs et roux, flottaient dans le vent. Enfin, ceux qui n’étaient pas retenus prisonniers par mon bonnet en laine flottaient. Je portais également une combinaison isotherme qui recouvrait la totalité de mon corps, de ma faible poitrine jusqu’aux rondeurs peu prononcées de mes fesses. Derrière moi, une voix féminine m’appela. Je me retournai et vis mes amis, regroupés : ils m’attendaient. Je ne les fis pas attendre plus longtemps et les rejoignis afin que nous pussions passer cette journée à skier sur la neige de ces montagnes magiques. Le soleil commençant à se coucher à l’horizon, nous décidâmes d’interrompre notre activité pour remonter en télésiège vers le chalet dans lequel nous logions. Mais avant cela, nous passâmes par la petite cabane en bois juste à côté afin d’ôter notre équipement de ski ; nous n’allions tout de même pas nous changer dans le chalet et mettre de la neige partout. Nous troquâmes donc nos affaires de glisse pour nos vêtements de montagne ordinaires. Ainsi, à la place de ma combinaison, je portais un tee-shirt manches longues recouvert d’un pull en laine que ma mère m’avait tricotée avant mon départ, la veille. Contrairement aux idées reçues, il est ...
    ... possible que ce genre de vêtements ne soit pas désuet. Lorsque nous fûmes changés, nous pénétrâmes enfin dans le chalet qui nous ferait office de gîte pour les cinq nuits à passer ici. La pièce principale, assez petite, contenait tout de même le strict minimum pour vivre correctement : une table et des chaises en bois ; une cheminée à l’ancienne au fond de la pièce et, comme dans n’importe quel cliché des chalets, un tapis sur le sol. En dehors de cette salle, il y avait la salle de bain à droite, la cuisine à gauche et les chambres réparties en trois pièces différentes. Moi et mes amis étions six au total. Trois garçons et trois filles. Le premier des trois, Damien, était l’homme le plus grand que je connaissais. Il mesurait presque deux mètres, mais pesait à peine quatre-vingts kilos. Ces cheveux mi-courts, mi-longs étaient bruns et cachaient presque ses yeux bleus. Le second, Thomas, était beaucoup plus petit : il ne dépassait pas le mètre soixante-dix. Comme Damien, il avait des yeux bleus, mais ses cheveux étaient blonds et coupés courts, presque à ras. Le dernier des trois, Aurel, mesurait un mètre soixante-quinze. Ses cheveux châtains étaient longs, presque aussi longs que les miens. En outre, il avait des yeux d’un vert d’émeraude absolument magnifique. Du côté des femmes, nous avions mon amie de toujours : Alexia. C’était la naine du groupe avec son mètre cinquante-sept. Les lunettes recouvrant ses yeux noisette voyaient leurs branches se perdre dans sa chevelure brune ...
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